Dimbokro – Gnamien Yao, cadre du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), ambitionne de présider son parti après Henri Konan Bédié, estimant avoir acquis suffisamment d’atouts et d’expériences dans son combat de militant au sein du parti septuagénaire pour être coopté à cette place parmi tous ceux de sa génération.
« J’ai toujours dit que je veux présider un jour le Parti démocratique de Côte d’ivoire. J’ai des ambitions moi. Je veux devenir un jour président du PDCI, peut être pas, pendant que le président Bédié est candidat mais dans ma génération », a fait savoir Gnamien Yao, répondant à une question en marge d’une conférence sur « l’industrie minière et développement local : cas de Dimbokro », qu’il animait, samedi, à l’initiative de l’association des Agba-Sakiaré à Dimbokro.
Pour Gnamien qui a affirmé avoir « un passé, un présent et un avenir dans le PDCI », l’espoir est permis malgré une traversée du désert au sein du parti. « Je peux dire que je connais ma traversée du désert et au bout de ça, je vous le dis dans ma génération, le PDCI ne se dirigera pas sans moi », a-t-il averti. Il a rejeté l’existence de tout contentieux Gnamien-Bédié.
Exclu en mars 2009 du PDCI par le conseil de discipline du PDCI pour avoir choisi ouvertement de battre campagne pour l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo au détriment du candidat de son propre parti, Henri Konan Bédié, à l’élection présidentielle de 2010, Gnamien Yao a été réhabilité en 2012.
(AIP)
ik/tm
« J’ai toujours dit que je veux présider un jour le Parti démocratique de Côte d’ivoire. J’ai des ambitions moi. Je veux devenir un jour président du PDCI, peut être pas, pendant que le président Bédié est candidat mais dans ma génération », a fait savoir Gnamien Yao, répondant à une question en marge d’une conférence sur « l’industrie minière et développement local : cas de Dimbokro », qu’il animait, samedi, à l’initiative de l’association des Agba-Sakiaré à Dimbokro.
Pour Gnamien qui a affirmé avoir « un passé, un présent et un avenir dans le PDCI », l’espoir est permis malgré une traversée du désert au sein du parti. « Je peux dire que je connais ma traversée du désert et au bout de ça, je vous le dis dans ma génération, le PDCI ne se dirigera pas sans moi », a-t-il averti. Il a rejeté l’existence de tout contentieux Gnamien-Bédié.
Exclu en mars 2009 du PDCI par le conseil de discipline du PDCI pour avoir choisi ouvertement de battre campagne pour l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo au détriment du candidat de son propre parti, Henri Konan Bédié, à l’élection présidentielle de 2010, Gnamien Yao a été réhabilité en 2012.
(AIP)
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