Le président d’Initiatives pour la paix (IPP), Konan Kouadio Siméon dit KKS, candidat malheureux à la présidentielle de 2015, « exige du président de la République, clarification et explication » ou à défaut, un éclairage du Conseil constitutionnel, sur la nomination de Charles Diby Koffi à la présidence du Conseil économique et social (CES).
« De la nomination de Monsieur Charles Diby Koffi au Conseil économique et social. Au moment où le débat sur une nouvelle Constitution s’ouvre, il m’est apparu légitime et du droit des Ivoiriens, d’exiger de la part du Président de la République, clarification et explication. A défaut, nous nous contenterons bien d’un éclairage du Conseil constitutionnel, juge de la légalité constitutionnelle », écrit KKS dans une déclaration dont copie est parvenue lundi à l’AIP.
Le candidat malheureux aux présidentielles de 2010 et 2015 dit faire cette exigence, en se basant sur l’article 5 de la loi organique n°2001-304 du 05 juin 2001 qui stipule que la désignation du président du CES se fait par vote.
M. Konan Kouamé a relevé plusieurs faits dont l’élection de Soro Kigbafori Guillaume à la présidence de l’Assemblée nationale, qu'il juge comme des "violations flagrantes" de la Constitution du 1er août 2000.
ik/cmas
« De la nomination de Monsieur Charles Diby Koffi au Conseil économique et social. Au moment où le débat sur une nouvelle Constitution s’ouvre, il m’est apparu légitime et du droit des Ivoiriens, d’exiger de la part du Président de la République, clarification et explication. A défaut, nous nous contenterons bien d’un éclairage du Conseil constitutionnel, juge de la légalité constitutionnelle », écrit KKS dans une déclaration dont copie est parvenue lundi à l’AIP.
Le candidat malheureux aux présidentielles de 2010 et 2015 dit faire cette exigence, en se basant sur l’article 5 de la loi organique n°2001-304 du 05 juin 2001 qui stipule que la désignation du président du CES se fait par vote.
M. Konan Kouamé a relevé plusieurs faits dont l’élection de Soro Kigbafori Guillaume à la présidence de l’Assemblée nationale, qu'il juge comme des "violations flagrantes" de la Constitution du 1er août 2000.
ik/cmas