Le secrétaire général adjoint du Front populaire ivoirien (FPI, opposition) chargé de la communication, Jean Bonin Kouadio a indiqué vendredi que le parti du président Alassane Ouattara, "n’a pas à craindre un retour de sa formation politique au pouvoir", lors d’une réunion dans la commune d'Abobo (Nord d’Abidjan).
"Le Rassemblement des républicains (RDR), tout comme ceux qui pour une raison ou une autre ont balafré par leurs actes notre nation, n'ont rien à craindre d'un retour du FPI au pouvoir", a réagi M. Kouadio suite à la déclaration du secrétaire général par intérim du RDR, Amadou Soumahoro.
Lors d’une conférence de presse animée jeudi en tant que président du directoire du Rassemblement des Houphouetistes pour la démocratie et la paix (RHDP, la coalition au pouvoir), M. Soumahoro a critiqué le FPI (parti fondé par Laurent Gbagbo), l’accusant d’être responsable "des pires atrocités commises en Côte d’Ivoire" pendant la crise électorale de novembre 2010 à avril 2011.
Il a également invité les partis membres du RHDP, en proie à des dissensions au sujet de la succession de M. Ouattara en 2020, à taire leurs différends pour ne pas favoriser le retour du FPI au pouvoir, ajoutant: "Si nous perdons ce pouvoir nous irons en exil avec femmes et enfants".
"La rancune, la rancœur et la vengeance ne font pas partie du vocabulaire" du FPI, dirigé par Affi N'Guessan, a soutenu le secrétaire général adjoint de l’ex-parti au pouvoir chargé de la Communication.
ABL
"Le Rassemblement des républicains (RDR), tout comme ceux qui pour une raison ou une autre ont balafré par leurs actes notre nation, n'ont rien à craindre d'un retour du FPI au pouvoir", a réagi M. Kouadio suite à la déclaration du secrétaire général par intérim du RDR, Amadou Soumahoro.
Lors d’une conférence de presse animée jeudi en tant que président du directoire du Rassemblement des Houphouetistes pour la démocratie et la paix (RHDP, la coalition au pouvoir), M. Soumahoro a critiqué le FPI (parti fondé par Laurent Gbagbo), l’accusant d’être responsable "des pires atrocités commises en Côte d’Ivoire" pendant la crise électorale de novembre 2010 à avril 2011.
Il a également invité les partis membres du RHDP, en proie à des dissensions au sujet de la succession de M. Ouattara en 2020, à taire leurs différends pour ne pas favoriser le retour du FPI au pouvoir, ajoutant: "Si nous perdons ce pouvoir nous irons en exil avec femmes et enfants".
"La rancune, la rancœur et la vengeance ne font pas partie du vocabulaire" du FPI, dirigé par Affi N'Guessan, a soutenu le secrétaire général adjoint de l’ex-parti au pouvoir chargé de la Communication.
ABL