Le président de la République, SEM. Alassane Ouattara pour une émergence de la côte d’ivoire en 2020 a initié la construction de plusieurs Universités à travers la côte d’ivoire, dont celle de Man. Et ce, dans le dessein de toujours rapprocher les formations universitaires des populations, en vue de la valorisation des potentialités des différentes régions.
C’est pour se faire une idée de l’état d’avancement des travaux et envisager des perspectives que la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Prof. Bakayoko-Ly Ramata a entrepris une visite des chantiers de l’Université de Man. C’était le vendredi 8 juillet 2016, en présence du ministre Albert Toikeusse Mabri, des autorités politiques, administratives, religieuses, coutumières de la région.
Après la séance des bénédictions, le Président du conseil régional du Tonkpi, M. Woï Mela Gaston, par la voix de son premier vice-président, a traduit la joie et la gratitude des populations au gouvernement ivoirien pour avoir doté la région d’une université. Il a émis le vœu de voir les amphithéâtres de l’institution ouvrir la rentrée académique prochaine.
« L’université de Man, une dimension essentielle de la vision du Chef de l’État, a pour spécificité le développement local, rural et communautaire. Car, il s’agira de mettre l’enseignement supérieur et la recherche scientifique au service du développement des potentialités économiques du District des Montagnes », a laissé entendre la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
Pour le Prof. Bakayoko-Ly Ramata, l’université de Man est espoir pour les populations de l’ouest ivoirien et pour le pays, vu qu’elle assurera la formation de cadres scientifiques et techniques, spécialistes dans les mines, les sciences des matériaux, l’énergie, les sciences de la terre, la métallurgie, la mécanique, la maintenance industrielle, le tourisme.
« J’invite les populations à adhérer au projet et j’exhorte les cadres, les politiques, les opérateurs économiques à soutenir l’université de Man, notamment en facilitant l’accès au transport et au logement aux enseignants, aux personnels administratif et technique, ainsi qu’aux étudiants », a-t-elle plaidé.
Pour sa part, le ministre Albert Toikeusse Mabri a assuré sa collègue de son soutien total et a promis rencontrer les transporteurs, les cadres et les opérateurs économiques de la région, afin de faciliter le bon fonctionnement de l’université de Man, qui reste un bel outil de développement de la région.
Une fois la visite du château d’eau, des résidences universitaires, des salles de TD, des amphithéâtres, du bâtiment administratif terminée, la ministre s’est dite satisfaite du niveau d’exécution des travaux et garde espoir quant à leur mise à disposition pour la rentrée universitaire 2016-2017.
Les présentations du coordonnateur du programme de décentralisation des universités (PDU), M. Dembélé Maky et des représentants du BNETD ont permis de comprendre la politique de décentralisation des universités, ainsi que l’ensemble du chantier de l’université de Man bâtie sur 113 hectares et qui attend pour la rentrée 2016-2017 environ 3000 étudiants.
En tout état de cause, la visite du chantier de l’université de Man redonne espoir aux populations et les rassure sur son effectivité.
C’est pour se faire une idée de l’état d’avancement des travaux et envisager des perspectives que la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Prof. Bakayoko-Ly Ramata a entrepris une visite des chantiers de l’Université de Man. C’était le vendredi 8 juillet 2016, en présence du ministre Albert Toikeusse Mabri, des autorités politiques, administratives, religieuses, coutumières de la région.
Après la séance des bénédictions, le Président du conseil régional du Tonkpi, M. Woï Mela Gaston, par la voix de son premier vice-président, a traduit la joie et la gratitude des populations au gouvernement ivoirien pour avoir doté la région d’une université. Il a émis le vœu de voir les amphithéâtres de l’institution ouvrir la rentrée académique prochaine.
« L’université de Man, une dimension essentielle de la vision du Chef de l’État, a pour spécificité le développement local, rural et communautaire. Car, il s’agira de mettre l’enseignement supérieur et la recherche scientifique au service du développement des potentialités économiques du District des Montagnes », a laissé entendre la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
Pour le Prof. Bakayoko-Ly Ramata, l’université de Man est espoir pour les populations de l’ouest ivoirien et pour le pays, vu qu’elle assurera la formation de cadres scientifiques et techniques, spécialistes dans les mines, les sciences des matériaux, l’énergie, les sciences de la terre, la métallurgie, la mécanique, la maintenance industrielle, le tourisme.
« J’invite les populations à adhérer au projet et j’exhorte les cadres, les politiques, les opérateurs économiques à soutenir l’université de Man, notamment en facilitant l’accès au transport et au logement aux enseignants, aux personnels administratif et technique, ainsi qu’aux étudiants », a-t-elle plaidé.
Pour sa part, le ministre Albert Toikeusse Mabri a assuré sa collègue de son soutien total et a promis rencontrer les transporteurs, les cadres et les opérateurs économiques de la région, afin de faciliter le bon fonctionnement de l’université de Man, qui reste un bel outil de développement de la région.
Une fois la visite du château d’eau, des résidences universitaires, des salles de TD, des amphithéâtres, du bâtiment administratif terminée, la ministre s’est dite satisfaite du niveau d’exécution des travaux et garde espoir quant à leur mise à disposition pour la rentrée universitaire 2016-2017.
Les présentations du coordonnateur du programme de décentralisation des universités (PDU), M. Dembélé Maky et des représentants du BNETD ont permis de comprendre la politique de décentralisation des universités, ainsi que l’ensemble du chantier de l’université de Man bâtie sur 113 hectares et qui attend pour la rentrée 2016-2017 environ 3000 étudiants.
En tout état de cause, la visite du chantier de l’université de Man redonne espoir aux populations et les rassure sur son effectivité.