Le gouverneur du District d’Abidjan a échangé, mardi 12 juillet, à la salle Delafosse de l’hôtel du District, avec la presse, autour de la 3e édition du prix Alassane Ouattara du jeune entrepreneur émergent. Ce prix doté d’une enveloppe de 200 millions qui est une initiative inspirée par le chef de l’Etat, a été instituée pour donner, a-t-il dit, un signal fort de l’ambition d’Alassane Ouattara de faire de la Côte d’Ivoire, un pays de grands entrepreneurs. Il est ouvert prioritairement à tous les jeunes qui vivent dans le District d’Abidjan qui ont des idées pour entreprendre.
Pour postuler, il faut être âgé de moins de 40 ans, avoir un projet chiffré, étudié selon une configuration architecturale à découvrir sur le site Internet du District autonome d’Abidjan www.abidjan.district.ci et s’approprier son propre projet.
Au dire du gouverneur Mambé, un certain nombre d’étapes jalonnent le concours. Il y a d’abord le lancement, puis la collecte des dossiers au centre d’incubation qui débutera le lundi 25 juillet pour s’achever le samedi 30 juillet, en présence d’un huissier de justice ; ensuite, la transmission desdits dossiers à l’Agefop qui est chargée de faire un premier tri, afin d’en définir leur qualité; pour voir si le requérant remplit les conditions ; enfin, tous ceux qui ont sélectionnés vont voir leurs dossiers confiés à un jury constitué de personnalités issues tant du privé que du public. Et c’est sur la base du travail de ce jury que les résultats sont proclamés en présence du Premier ministre.
Dès lors, le District d’Abidjan entre en scène pour approvisionner les comptes bancaires des heureux élus ouverts à la BNI, pour leur permettre d’être opérationnels. Et des consultants leur rendent régulièrement visite, afin de les encadrer.
Avant de se prêter aux questions des journalistes, le gouverneur du District d’Abidjan a indiqué que la Côte d’Ivoire regorge de jeunes brillants à qui il faut faire comprendre que la seule bataille qui vaille aujourd’hui, c’est celle de l’auto-emploi et qu’il faut aider pour qu’ils réussissent. Et la satisfaction, c’est de voir réussir ceux ont bénéficié de l’aide.
A en croire Beugré Mambé, le prix Alassane Ouattara du jeune entrepreneur émergent épousera, pour l’édition de cette année, le même cycle générique que les éditions précédentes. En clair, il n’y aura pas d’innovations notables par rapport à l’architecture, afin de permettre au prix de s’ancrer dans les consciences collectives et se consolider. Ce n’est qu’après cette phase qu’une nouvelle étape sera franchie. Sinon, beaucoup d’innovations ont été proposées, elles seront analysées avant adoption.
Déjà, ce qu’il faut retenir des deux éditions précédentes, c’est que concernant la première, 20 projets ont pu naître, 40% à l’initiative des femmes et 60% à celle des hommes. Quant à la deuxième édition, elle a enregistré 40 projets, 30% conduits par les femmes et 70% par les hommes. Au total 400 millions ont été mis a la disposition des jeunes. A ce propos, Beugré Mambé a exhorté les femmes à concourir plus. Il a aussi tenu à faire savoir que le processus pour postuler au prix Alassane Ouattara du jeune entrepreneur émergent est entièrement gratuit. Pour conclure, il a indiqué que la politique de son institution, qui vise à lutter contre la pauvreté, vient en complément de celle du gouvernement ivoirien. Cette politique prend en compte aussi bien la ville d’Abidjan que les villages relevant du ressort territorial du District autonome d’Abidjan.
Pour postuler, il faut être âgé de moins de 40 ans, avoir un projet chiffré, étudié selon une configuration architecturale à découvrir sur le site Internet du District autonome d’Abidjan www.abidjan.district.ci et s’approprier son propre projet.
Au dire du gouverneur Mambé, un certain nombre d’étapes jalonnent le concours. Il y a d’abord le lancement, puis la collecte des dossiers au centre d’incubation qui débutera le lundi 25 juillet pour s’achever le samedi 30 juillet, en présence d’un huissier de justice ; ensuite, la transmission desdits dossiers à l’Agefop qui est chargée de faire un premier tri, afin d’en définir leur qualité; pour voir si le requérant remplit les conditions ; enfin, tous ceux qui ont sélectionnés vont voir leurs dossiers confiés à un jury constitué de personnalités issues tant du privé que du public. Et c’est sur la base du travail de ce jury que les résultats sont proclamés en présence du Premier ministre.
Dès lors, le District d’Abidjan entre en scène pour approvisionner les comptes bancaires des heureux élus ouverts à la BNI, pour leur permettre d’être opérationnels. Et des consultants leur rendent régulièrement visite, afin de les encadrer.
Avant de se prêter aux questions des journalistes, le gouverneur du District d’Abidjan a indiqué que la Côte d’Ivoire regorge de jeunes brillants à qui il faut faire comprendre que la seule bataille qui vaille aujourd’hui, c’est celle de l’auto-emploi et qu’il faut aider pour qu’ils réussissent. Et la satisfaction, c’est de voir réussir ceux ont bénéficié de l’aide.
A en croire Beugré Mambé, le prix Alassane Ouattara du jeune entrepreneur émergent épousera, pour l’édition de cette année, le même cycle générique que les éditions précédentes. En clair, il n’y aura pas d’innovations notables par rapport à l’architecture, afin de permettre au prix de s’ancrer dans les consciences collectives et se consolider. Ce n’est qu’après cette phase qu’une nouvelle étape sera franchie. Sinon, beaucoup d’innovations ont été proposées, elles seront analysées avant adoption.
Déjà, ce qu’il faut retenir des deux éditions précédentes, c’est que concernant la première, 20 projets ont pu naître, 40% à l’initiative des femmes et 60% à celle des hommes. Quant à la deuxième édition, elle a enregistré 40 projets, 30% conduits par les femmes et 70% par les hommes. Au total 400 millions ont été mis a la disposition des jeunes. A ce propos, Beugré Mambé a exhorté les femmes à concourir plus. Il a aussi tenu à faire savoir que le processus pour postuler au prix Alassane Ouattara du jeune entrepreneur émergent est entièrement gratuit. Pour conclure, il a indiqué que la politique de son institution, qui vise à lutter contre la pauvreté, vient en complément de celle du gouvernement ivoirien. Cette politique prend en compte aussi bien la ville d’Abidjan que les villages relevant du ressort territorial du District autonome d’Abidjan.