La mise en place progressive, dans un processus participatif et inclusif, des fondements d’un système national de protection sociale avec pour objectif d’apporter des éléments de réponse adaptées aux situations de pauvreté et de vulnérabilité des populations, notamment celles se trouvant dans une situation d’indigence était au centre d’une rencontre vendredi dernier entre L’Unité de Gestion du Projet Filets Sociaux Productifs, la Direction Générale de la Protection Sociale et les Partenaires Techniques et Financiers de la Protection sociale, Notamment la Banque Mondiale, la BAD, l’UNICEF, le PNUD, le BIT, l’UNHCR et l’OMS.
Placée sous le signe du partage d’informations et d’échange d’expériences, la séance de travail a non seulement permis de faire l’état des lieux de la Stratégie Nationale de Protection Sociale adoptée par le conseil des ministres en mai 2014 , mais aussi et surtout, de faire le point de l’état d’avancement dans la mise en œuvre du Projet des Filets Sociaux Productifs financé par la Banque Mondiale et mis en vigueur en octobre 2015, avec pour ancrage le Ministère de l’Emploi et de la Protection Sociale.
Au titre de la Stratégie Nationale de Protection sociale, il a été retenu qu’un atelier organisé pour son actualisation a permis de reconduire l’ensemble de ses quatre (04) axes stratégiques. Elle a donc été validée sous réserve d’un réajustement du plan d’actions à travers une sélection d’activités pertinentes qui feraient l’objet d’une programmation et d’une budgétisation réaliste.
Les objectifs, les défis, les enjeux, les résultats obtenus les contraintes et les perspectives au titre du Projet des Filets Sociaux Productifs ont fait l’objet d’une présentation. Les échanges qui s’en sont suivis ont permis de dégager les horizons à travers des mises au point et des propositions concrètes visant à renforcer la lisibilité et l’opérationnalité des deux (02) entités.
Ainsi, pour ce qui est de la Stratégie Nationale de Protection sociale ont pu être suggérées l’établissement d’une cartographie des projets et programmes afin de garantir la traçabilité des bénéficiaires pour ainsi éviter les doublons et également pouvoir tirer des leçons des différentes expériences et une budgétisation pertinente du plan d’actions de la stratégie faisant clairement ressortir la part état et les financements à rechercher.
En ce qui concerne le Projet des Filets Sociaux Productifs, ce sont la création d’une synergie entre les différentes initiatives se rapportant à la question du registre unique, la nécessité de l’extension des actions de protection sociale à des zones autres que le Centre, le Nord et l’Ouest, l’engagement de l’Etat à examiner dès maintenant les possibilités de financement interne de la phase de passage à échelle après le retrait du partenaire qui ont été retenus.
Ce Projet vise, d’une part, à améliorer le revenu des ménages pauvres du milieu rural des zones Centre, Nord et Ouest à travers des allocations trimestrielles de 36 000 francs CFA, et ce à 35 000 ménages bénéficiaires (environ 210 000 personnes concernées) sur la période 2015-2020. D’autre part, il inclue des mesures d’accompagnement visant le renforcement du capital humain et du capital productif desdits bénéficiaires (scolarisation, lutte contre la violence, nutrition, etc…).
Tous les participants ont témoigné leur engagement à accompagner ce processus de développement des fondements d’un système de filets sociaux incluant un train de mesures à déployer sous le mode de la synergie, de la mutualisation et de la coordination des actions.
Placée sous le signe du partage d’informations et d’échange d’expériences, la séance de travail a non seulement permis de faire l’état des lieux de la Stratégie Nationale de Protection Sociale adoptée par le conseil des ministres en mai 2014 , mais aussi et surtout, de faire le point de l’état d’avancement dans la mise en œuvre du Projet des Filets Sociaux Productifs financé par la Banque Mondiale et mis en vigueur en octobre 2015, avec pour ancrage le Ministère de l’Emploi et de la Protection Sociale.
Au titre de la Stratégie Nationale de Protection sociale, il a été retenu qu’un atelier organisé pour son actualisation a permis de reconduire l’ensemble de ses quatre (04) axes stratégiques. Elle a donc été validée sous réserve d’un réajustement du plan d’actions à travers une sélection d’activités pertinentes qui feraient l’objet d’une programmation et d’une budgétisation réaliste.
Les objectifs, les défis, les enjeux, les résultats obtenus les contraintes et les perspectives au titre du Projet des Filets Sociaux Productifs ont fait l’objet d’une présentation. Les échanges qui s’en sont suivis ont permis de dégager les horizons à travers des mises au point et des propositions concrètes visant à renforcer la lisibilité et l’opérationnalité des deux (02) entités.
Ainsi, pour ce qui est de la Stratégie Nationale de Protection sociale ont pu être suggérées l’établissement d’une cartographie des projets et programmes afin de garantir la traçabilité des bénéficiaires pour ainsi éviter les doublons et également pouvoir tirer des leçons des différentes expériences et une budgétisation pertinente du plan d’actions de la stratégie faisant clairement ressortir la part état et les financements à rechercher.
En ce qui concerne le Projet des Filets Sociaux Productifs, ce sont la création d’une synergie entre les différentes initiatives se rapportant à la question du registre unique, la nécessité de l’extension des actions de protection sociale à des zones autres que le Centre, le Nord et l’Ouest, l’engagement de l’Etat à examiner dès maintenant les possibilités de financement interne de la phase de passage à échelle après le retrait du partenaire qui ont été retenus.
Ce Projet vise, d’une part, à améliorer le revenu des ménages pauvres du milieu rural des zones Centre, Nord et Ouest à travers des allocations trimestrielles de 36 000 francs CFA, et ce à 35 000 ménages bénéficiaires (environ 210 000 personnes concernées) sur la période 2015-2020. D’autre part, il inclue des mesures d’accompagnement visant le renforcement du capital humain et du capital productif desdits bénéficiaires (scolarisation, lutte contre la violence, nutrition, etc…).
Tous les participants ont témoigné leur engagement à accompagner ce processus de développement des fondements d’un système de filets sociaux incluant un train de mesures à déployer sous le mode de la synergie, de la mutualisation et de la coordination des actions.