Daoukro - Le Rassemblement du Peuple de Côte d’Ivoire (RPCI), propose une révision simple de la constitution, marquant son désaccord quand à la démarche actuelle dont la finalité est de doter le pays d’une nouvelle loi fondamentale.
Le RPCI fonde sa position sur le fait notamment que les « conditions de paix, de réconciliation », entre autres, qu’il estime être un préalable pour la conduite d’une telle initiative, ne seraient pas réunies pour passer à une troisième République en Côte d’Ivoire.
Son président, Pr Bamba Moriféré a communiqué le point de vue de son parti au sortir d’une audience, jeudi, à Daoukro, avec le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire, Henri Konan Bédié.
"L’intérêt supérieur de la nation ivoirienne commande que nous fassions les choses à ne pas mettre à mal la réconciliation nationale, la paix, la cohésion nationale et la stabilité de notre pays. Et à ce titre, nous avons fait connaître notre position qui est que le moment n’est pas opportun pour l’élaboration d’une nouvelle constitution", a-t-il déclaré.
"Nous avons indiqué que l’élaboration d’une nouvelle constitution, requiert des conditions de paix, de réconciliation qui ne sont pas réunies aujourd’hui. Or,Il y a encore des exilés politiques, des procès sont en cours", a relevé le président du RPCI.
(AIP)
ca/kg/ask
Le RPCI fonde sa position sur le fait notamment que les « conditions de paix, de réconciliation », entre autres, qu’il estime être un préalable pour la conduite d’une telle initiative, ne seraient pas réunies pour passer à une troisième République en Côte d’Ivoire.
Son président, Pr Bamba Moriféré a communiqué le point de vue de son parti au sortir d’une audience, jeudi, à Daoukro, avec le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire, Henri Konan Bédié.
"L’intérêt supérieur de la nation ivoirienne commande que nous fassions les choses à ne pas mettre à mal la réconciliation nationale, la paix, la cohésion nationale et la stabilité de notre pays. Et à ce titre, nous avons fait connaître notre position qui est que le moment n’est pas opportun pour l’élaboration d’une nouvelle constitution", a-t-il déclaré.
"Nous avons indiqué que l’élaboration d’une nouvelle constitution, requiert des conditions de paix, de réconciliation qui ne sont pas réunies aujourd’hui. Or,Il y a encore des exilés politiques, des procès sont en cours", a relevé le président du RPCI.
(AIP)
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