Le Forum des directeurs de Publication de Côte d’Ivoire (Fordpci) a organisé un atelier de formation à l’intention des directeurs de publication et des rédacteurs en chefs, le samedi 30 juillet dernier à la résidence hôtel Ohinené aux Deux-Plateaux- Vallon. L’atelier a eu pour thème : « La gestion de la ligne et du contenu éditorial en période de tension sociopolitique ». Zio Moussa, le formateur a partagé son expérience avec les participants. Son exposé s’est décliné en plusieurs points. Parlant des crises, Zio Moussa a indiqué qu’elles peuvent être d’ordre
politique, syndical, économique etc. Le journaliste peut jouer sa partition dans le règlement d’une crise sans parti pris. Dans ce cas, il peut produire des articles pour apaiser les esprits des différents acteurs ou protagonistes. Zio Moussa n’a pas manqué de préciser qu’une tension socio-politique agit aussi sur la liberté de la presse. L’on assiste alors à des intimidations, arrestations, menaces de mort, emprisonnements, sanctions des journaux. Charles Tra Bi,président du FORDPCI s’est réjoui de la participation massive des directeurs de publication et des rédacteurs en chef. M. Kéita Karouga, directeur de la communication au ministère de la Communication et Irène Vieira, directrice générale du Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida) ont salué l’initiative des organisateurs de cet atelier.
Dago Diké
politique, syndical, économique etc. Le journaliste peut jouer sa partition dans le règlement d’une crise sans parti pris. Dans ce cas, il peut produire des articles pour apaiser les esprits des différents acteurs ou protagonistes. Zio Moussa n’a pas manqué de préciser qu’une tension socio-politique agit aussi sur la liberté de la presse. L’on assiste alors à des intimidations, arrestations, menaces de mort, emprisonnements, sanctions des journaux. Charles Tra Bi,président du FORDPCI s’est réjoui de la participation massive des directeurs de publication et des rédacteurs en chef. M. Kéita Karouga, directeur de la communication au ministère de la Communication et Irène Vieira, directrice générale du Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida) ont salué l’initiative des organisateurs de cet atelier.
Dago Diké