Le Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel) tient le Président d’une des tendances du Front Populaire Ivoirien (FPI), Pascal Affi N’guessan, pour ‘’responsable des dérives’’ qui pourraient survenir lors des manifestations annoncées par l’opposition, indique un communiqué, transmis, jeudi, à APA.
Selon le texte signé par le Porte-parole du RDR, Joël N’guessan, ‘’il est bon que M. Affi retienne qu’il sera tenu pour responsable de toutes les dérives qui pourraient survenir si ses militants descendaient dans la rue sous les fallacieux prétextes qu’ils avancent’’.
A la mi-journée, jeudi, Pascal Affi N’guessan a annoncé, au nom de l’Alliance des forces démocratiques (AFD, coalition de l’opposition) la ‘’rupture’’ entre le pouvoir et l’opposition, prévenant que ‘’si jusqu’à fin septembre, il n’y a pas de solution à nos préoccupations, nous descendrons dans la rue jusqu’à ce que Ouattara recule’’.
Pour Joël N’guessan, ‘’le gouvernement et les militants du RHDP (coalition au pouvoir) n’accepteront pas le désordre et la chienlit’’, soulignant que sous la houlette du président Ouattara, ‘’ le pays connaît une embellie’’.
‘’Il n’est point question qu’une minorité vienne mettre en péril nos avancées politiques, sociales et économiques’’, a prévenu M. N’guessan.
Dans son discours à la faveur du 56è anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, le Chef de l’Etat Alassane Ouattara a annoncé samedi qu’un Comité d’experts a été mis en place pour l’élaboration d’une nouvelle constitution conformément aux accords qui ont été signés dans le cadre de la résolution de la crise militaro-politique déclenchée en 2002.
Cette nouvelle constitution qui sera soumise à référendum à la fin du mois d’octobre prend en compte la création d’un sénat et d’un poste de vice-président de la République. Réagissant à ce discours, le FPI a estimé dans un communiqué que le Chef de l’Etat veut opérer un ’’passage en force’’ concernant le projet d’une nouvelle Constitution.
HS/ls/APA
Selon le texte signé par le Porte-parole du RDR, Joël N’guessan, ‘’il est bon que M. Affi retienne qu’il sera tenu pour responsable de toutes les dérives qui pourraient survenir si ses militants descendaient dans la rue sous les fallacieux prétextes qu’ils avancent’’.
A la mi-journée, jeudi, Pascal Affi N’guessan a annoncé, au nom de l’Alliance des forces démocratiques (AFD, coalition de l’opposition) la ‘’rupture’’ entre le pouvoir et l’opposition, prévenant que ‘’si jusqu’à fin septembre, il n’y a pas de solution à nos préoccupations, nous descendrons dans la rue jusqu’à ce que Ouattara recule’’.
Pour Joël N’guessan, ‘’le gouvernement et les militants du RHDP (coalition au pouvoir) n’accepteront pas le désordre et la chienlit’’, soulignant que sous la houlette du président Ouattara, ‘’ le pays connaît une embellie’’.
‘’Il n’est point question qu’une minorité vienne mettre en péril nos avancées politiques, sociales et économiques’’, a prévenu M. N’guessan.
Dans son discours à la faveur du 56è anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, le Chef de l’Etat Alassane Ouattara a annoncé samedi qu’un Comité d’experts a été mis en place pour l’élaboration d’une nouvelle constitution conformément aux accords qui ont été signés dans le cadre de la résolution de la crise militaro-politique déclenchée en 2002.
Cette nouvelle constitution qui sera soumise à référendum à la fin du mois d’octobre prend en compte la création d’un sénat et d’un poste de vice-président de la République. Réagissant à ce discours, le FPI a estimé dans un communiqué que le Chef de l’Etat veut opérer un ’’passage en force’’ concernant le projet d’une nouvelle Constitution.
HS/ls/APA