Yamoussoukro, La gouvernance du processus de réformes pour l’amélioration de l’environnement des affaires en Côte d’Ivoire présente encore des contraintes et des pesanteurs, a fait savoir, jeudi à Yamoussoukro, le directeur général du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), Emmanuel Essis Esmel, soulignant que cela constitue un risque majeur de non atteinte des objectifs fixés par le gouvernement pour figurer parmi les 50 meilleures économies mondiales au rapport doing business 2019.
"Malgré les efforts louables, le rang de la Côte d’Ivoire au classement doing business (142è sur 189) reste encore celui d’un pays dans lequel il apparaît difficile de faire des affaires", a indiqué Emmanuel Essis à l’ouverture du 5è atelier national d’identification des réformes pour l’environnement des affaires en Côte d’Ivoire en présence du ministre auprès du Premier ministre chargé de l’Economie et des Finances, Koné Adama.
"Il apparaît donc plus que nécessaire de courageusement identifier et mettre en œuvre des projets de réformes structurels et structurants ayant un impact fort significatif sur la variable du doing business", préconise le directeur général du CEPICI.
Il conseillé la synergie des acteurs pour relever le défi de dématérialisation des actes et services administratifs et à combattre la lourdeur, les coûts élevés et l’opacité dans les services, afin de permettre à la Côte d’Ivoire d'atteindre son objectif de figurer dans les 50 meilleures économies du monde et d'être un pays émergent à l’horizon 2020.
La Côte d'Ivoire s’est engagée depuis 2013 dans un processus d’amélioration de son environnement des affaires. Les résultats enregistrés ont permis au pays d’améliorer son classement à l’indice Doing Business du groupe de la Banque Mondiale de 35 places en passant du 177è rang en 2013 à la 142è place en 2016.
Le pays s’est positionné successivement en 2014 et en 2015 dans le Top dix des pays réformateurs en mettant en œuvre des projets à impact rapide ou « quik wins » et ambitionne de se positionner parmi les 50 meilleures économies mondiales à l’indice doing business en 2019.
Le 5è atelier national d’identification des réformes pour l’environnement des affaires du CEPICI a pour thème « amélioration du climat des affaires et défis de l’émergence : quelles réformes, levier pour l’efficacité et la transparence de l’action publique au service du secteur privé ? ». L’objectif est d’élaborer un agenda des réformes à court, moyen et long terme pour l’amélioration de l’environnement des affaires avec un focus sur les rapports doing business 2017 et 2018.
(AIP)
nam/ask
"Malgré les efforts louables, le rang de la Côte d’Ivoire au classement doing business (142è sur 189) reste encore celui d’un pays dans lequel il apparaît difficile de faire des affaires", a indiqué Emmanuel Essis à l’ouverture du 5è atelier national d’identification des réformes pour l’environnement des affaires en Côte d’Ivoire en présence du ministre auprès du Premier ministre chargé de l’Economie et des Finances, Koné Adama.
"Il apparaît donc plus que nécessaire de courageusement identifier et mettre en œuvre des projets de réformes structurels et structurants ayant un impact fort significatif sur la variable du doing business", préconise le directeur général du CEPICI.
Il conseillé la synergie des acteurs pour relever le défi de dématérialisation des actes et services administratifs et à combattre la lourdeur, les coûts élevés et l’opacité dans les services, afin de permettre à la Côte d’Ivoire d'atteindre son objectif de figurer dans les 50 meilleures économies du monde et d'être un pays émergent à l’horizon 2020.
La Côte d'Ivoire s’est engagée depuis 2013 dans un processus d’amélioration de son environnement des affaires. Les résultats enregistrés ont permis au pays d’améliorer son classement à l’indice Doing Business du groupe de la Banque Mondiale de 35 places en passant du 177è rang en 2013 à la 142è place en 2016.
Le pays s’est positionné successivement en 2014 et en 2015 dans le Top dix des pays réformateurs en mettant en œuvre des projets à impact rapide ou « quik wins » et ambitionne de se positionner parmi les 50 meilleures économies mondiales à l’indice doing business en 2019.
Le 5è atelier national d’identification des réformes pour l’environnement des affaires du CEPICI a pour thème « amélioration du climat des affaires et défis de l’émergence : quelles réformes, levier pour l’efficacité et la transparence de l’action publique au service du secteur privé ? ». L’objectif est d’élaborer un agenda des réformes à court, moyen et long terme pour l’amélioration de l’environnement des affaires avec un focus sur les rapports doing business 2017 et 2018.
(AIP)
nam/ask