Le Syndicat autonome des enseignants du primaire public de Côte d’Ivoire (Saeppci), a tenu le jeudi 04 août 2016 au Club municipal d’Adjamé, un Conseil national de vacances. Selon les organisateurs, cette rencontre vise à remobiliser les militants membres dudit syndicat.
« Nous avons sonné la remobilisation de tous les militants du Saeppci, parce qu’après le décès de notre prédécesseur, tout le monde avait été bouleversé. Et des sections se sont endormies », a expliqué Zunon Achille Elysée, secrétaire général du Saeppci.
A l’en croire, la remobilisation de tous les militants est nécessaire. C’est pourquoi il a souligné que des actions de terrain seront entreprises dans ce sens : « Toutes les questions qui ont été soumises à l’ordre du jour, ont rencontré de l’assentiment de tous les camarades. Le Saeppci était dans une position d’une structure prise en otage entre deux tendances ».
Et pour taire les discordes, selon lui, les militants ont convenu de ce qu’il ne fallait plus rester dans cette position opposée, et qu’il faille désormais adopter la légalité, c’est-à-dire reconnaitre les structures existantes selon les textes : « Nous félicitons les enseignants, et nous les encourageons pour l’année scolaire qui vient de s’achever surtout avec les 86% de taux de réussite au Cepe sur le plan national. Nous invitons tous nos membres à la discipline comme ils l’ont toujours été. La prochaine étape consistera à faire des tournées nationales, et revenir en conseil afin de faire un bilan et envisager un congrès ».
Selon M. Doumbia, secrétaire départemental du Saeppci section Adiaké, le Syndicat depuis sa création en 2004, a perdu de son ardeur, il était donc important de redynamiser les militants afin que les revendications portent leurs fruits.
Pour sa part, Viviane May, Secrétaire chargée aux affaires féminines du syndicat, pense qu’à la sortie de ce congrès, les idées qui ont été avancées permettront de lutter efficacement et d’arriver aux bouts, et d’obtenir les retombés de la lutte.
O.I
« Nous avons sonné la remobilisation de tous les militants du Saeppci, parce qu’après le décès de notre prédécesseur, tout le monde avait été bouleversé. Et des sections se sont endormies », a expliqué Zunon Achille Elysée, secrétaire général du Saeppci.
A l’en croire, la remobilisation de tous les militants est nécessaire. C’est pourquoi il a souligné que des actions de terrain seront entreprises dans ce sens : « Toutes les questions qui ont été soumises à l’ordre du jour, ont rencontré de l’assentiment de tous les camarades. Le Saeppci était dans une position d’une structure prise en otage entre deux tendances ».
Et pour taire les discordes, selon lui, les militants ont convenu de ce qu’il ne fallait plus rester dans cette position opposée, et qu’il faille désormais adopter la légalité, c’est-à-dire reconnaitre les structures existantes selon les textes : « Nous félicitons les enseignants, et nous les encourageons pour l’année scolaire qui vient de s’achever surtout avec les 86% de taux de réussite au Cepe sur le plan national. Nous invitons tous nos membres à la discipline comme ils l’ont toujours été. La prochaine étape consistera à faire des tournées nationales, et revenir en conseil afin de faire un bilan et envisager un congrès ».
Selon M. Doumbia, secrétaire départemental du Saeppci section Adiaké, le Syndicat depuis sa création en 2004, a perdu de son ardeur, il était donc important de redynamiser les militants afin que les revendications portent leurs fruits.
Pour sa part, Viviane May, Secrétaire chargée aux affaires féminines du syndicat, pense qu’à la sortie de ce congrès, les idées qui ont été avancées permettront de lutter efficacement et d’arriver aux bouts, et d’obtenir les retombés de la lutte.
O.I