La dislocation du mouvement coopératif décrié et les groupements informels (GI) priés d’intégrés la régularité, « la république »
Des ateliers bilan éclatés des activités des sociétés coopératives du coton au titre de la campagne 2015-2016 se sont déroulés du 10 au 11 aout 2016 dans les régions du poro, tchologo, et bagoué de l’ex district des savanes au Nord et au centre de la Côte d’Ivoire et du gbêkê au centre du pays sur initiative du directeur général (DG) par intérim du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Dr Adama Coulibaly. Ces ateliers bilan des activités des sociétés coopératives au titre de la campagne 2015-2016 se sont déroulés dans les grandes zones de production du coton les chefs lieu de réions Korhogo, Boundiali, Ferkéssédougou et Bouaké. Les objectifs et résultats attendus sont de renforcer le rôle des organisations professionnelles agricoles (OPA) dans la filière afin de les rendre plus efficaces a déclaré Dr Adama Coulibaly. Il a ensuite ajouté que ces ateliers ne sont pas des occasions d’évaluation des coopératives mais plutôt un partage d’expérience, d’enrichissement mutuel des coopérateurs. Autre résultats attendus entre autres sont les résultats techniques et financiers des OPA, les contraintes au bon fonctionnement identifiées, des orientations et propositions de solutions d’amélioration…
L’étape de Korhogo a eu lieue dans l’enceinte de l’Union des régionales des entreprises coopératives de la zone des savanes Cote d’Ivoire en (URECOSCI) du secrétaire genral1 de la préfecture de Korhogo Binaté Lassina, du directeur général du conseil coton et anacarde Adama Coulibaly , Mme Konan Azoh de la direction des organisation professionnelle agricoles représentant le ministre de l’agriculture et du développement rural Coulibaly Sangafowa Mamadou, des partenaires techniques et financiers et des présidents des conseils d’administrations de l’inter coton et de la fédération des producteurs de coton de Côte d’Ivoire respectivement Tuo Lassina et Yéo Largaton. Approché à la fin de l’atelier sur le sujet de zoning qui fait couler beaucoup d’encre et de salive au sein de la filière coton , le DG par intérim du conseil et coton a été sans détours « le zoning n’est pas le problème, c’est la faiblesse du mouvement coopératif disloqué qui doit être renforcer » .
Il renchérit que « nous souhaitons dans un avenir proche ne plus entendre parler de groupement informel (GI) au sein de la filière cotonnière, nous militerons auprès des autorités du pays pour que tout ce qui est appui et avantages aillent aux coopératives régulièrement constituées et que les GI soient contraints d’intégrer la régularité , la république car ces groupements informels font beaucoup de mal à la filière et on ne peut pas continuer à demeurer dans le désordre ».
Indem pour les PCA de l’inter coton Tuo Lassina « Le mouvement coopératif est affaibli du fait des égreneurs à trouver du coton là ou il faut en avoir même si elle peut diviser elle le fait pour avoir du coton. Si nous sommes dans une situation de zoning cela va permettre aux coopératives de cet espace donné de s’organiser car autour des cotonculteurs et de les unifier au sein d’un mouvement coopératif pour pourvoir contractualiser avec la société cotonnière qui est dans la zone. Il faut arriver à mettre le zoning (découpage des zones de production …) en place si nous ne voulons pas programmer la mort de filière coton dans un temps très court ».
Yeo Largaton PCA de la fédération des producteurs de coton de Côte d ‘Ivoire « Nous avons des objectifs que nous allons signifier à l’état de Côte d’Ivoire et les égreneurs afin d’être rassurer de l’avenir du producteur du coton dans la mise en pratique du zoning, Sinon pour le moment nous ne sommes pas opposés comme on l’a fait par le passé .Cet atelier bilan qui est à sa première édition est salutaire car il permettra aux PCA et gérants de coopératives de mettre du sérieux dans la gestion de la structure qu’ils ont en charge parc qu’ils présenteront en fin d’année un bilan ».
Il faut souligner que sur 1 333 OPA coton dénombrées en 2015 seulement 281 coopératives sont régulièrement constitués conformément aux indications de l’OHADA.
BT
Des ateliers bilan éclatés des activités des sociétés coopératives du coton au titre de la campagne 2015-2016 se sont déroulés du 10 au 11 aout 2016 dans les régions du poro, tchologo, et bagoué de l’ex district des savanes au Nord et au centre de la Côte d’Ivoire et du gbêkê au centre du pays sur initiative du directeur général (DG) par intérim du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Dr Adama Coulibaly. Ces ateliers bilan des activités des sociétés coopératives au titre de la campagne 2015-2016 se sont déroulés dans les grandes zones de production du coton les chefs lieu de réions Korhogo, Boundiali, Ferkéssédougou et Bouaké. Les objectifs et résultats attendus sont de renforcer le rôle des organisations professionnelles agricoles (OPA) dans la filière afin de les rendre plus efficaces a déclaré Dr Adama Coulibaly. Il a ensuite ajouté que ces ateliers ne sont pas des occasions d’évaluation des coopératives mais plutôt un partage d’expérience, d’enrichissement mutuel des coopérateurs. Autre résultats attendus entre autres sont les résultats techniques et financiers des OPA, les contraintes au bon fonctionnement identifiées, des orientations et propositions de solutions d’amélioration…
L’étape de Korhogo a eu lieue dans l’enceinte de l’Union des régionales des entreprises coopératives de la zone des savanes Cote d’Ivoire en (URECOSCI) du secrétaire genral1 de la préfecture de Korhogo Binaté Lassina, du directeur général du conseil coton et anacarde Adama Coulibaly , Mme Konan Azoh de la direction des organisation professionnelle agricoles représentant le ministre de l’agriculture et du développement rural Coulibaly Sangafowa Mamadou, des partenaires techniques et financiers et des présidents des conseils d’administrations de l’inter coton et de la fédération des producteurs de coton de Côte d’Ivoire respectivement Tuo Lassina et Yéo Largaton. Approché à la fin de l’atelier sur le sujet de zoning qui fait couler beaucoup d’encre et de salive au sein de la filière coton , le DG par intérim du conseil et coton a été sans détours « le zoning n’est pas le problème, c’est la faiblesse du mouvement coopératif disloqué qui doit être renforcer » .
Il renchérit que « nous souhaitons dans un avenir proche ne plus entendre parler de groupement informel (GI) au sein de la filière cotonnière, nous militerons auprès des autorités du pays pour que tout ce qui est appui et avantages aillent aux coopératives régulièrement constituées et que les GI soient contraints d’intégrer la régularité , la république car ces groupements informels font beaucoup de mal à la filière et on ne peut pas continuer à demeurer dans le désordre ».
Indem pour les PCA de l’inter coton Tuo Lassina « Le mouvement coopératif est affaibli du fait des égreneurs à trouver du coton là ou il faut en avoir même si elle peut diviser elle le fait pour avoir du coton. Si nous sommes dans une situation de zoning cela va permettre aux coopératives de cet espace donné de s’organiser car autour des cotonculteurs et de les unifier au sein d’un mouvement coopératif pour pourvoir contractualiser avec la société cotonnière qui est dans la zone. Il faut arriver à mettre le zoning (découpage des zones de production …) en place si nous ne voulons pas programmer la mort de filière coton dans un temps très court ».
Yeo Largaton PCA de la fédération des producteurs de coton de Côte d ‘Ivoire « Nous avons des objectifs que nous allons signifier à l’état de Côte d’Ivoire et les égreneurs afin d’être rassurer de l’avenir du producteur du coton dans la mise en pratique du zoning, Sinon pour le moment nous ne sommes pas opposés comme on l’a fait par le passé .Cet atelier bilan qui est à sa première édition est salutaire car il permettra aux PCA et gérants de coopératives de mettre du sérieux dans la gestion de la structure qu’ils ont en charge parc qu’ils présenteront en fin d’année un bilan ».
Il faut souligner que sur 1 333 OPA coton dénombrées en 2015 seulement 281 coopératives sont régulièrement constitués conformément aux indications de l’OHADA.
BT
