Bouaké (Côte d’Ivoire) - Quelque 19 personnes ont été placées sous instruction judiciaire devant le Tribunal de première instance de Bouaké, suite aux violentes manifestations de rue qui ont secouées au mois de juillet dernier cette ville du Centre-Nord ivoirien, a appris APA, mardi, auprès d’une source proche du dossier.
Selon cette source, c’est tardivement dans la soirée de vendredi que ces 19 prévenus (18 adultes et un mineur) ont été transférés vers le Tribunal de Bouaké. ‘’Pour l’heure les prévenus sont entendus par le juge d’instruction qui décidera après une enquête d’ouvrir ou non un procès à leur encontre’’ a précisé cette source.
Les prévenus devront répondre de plusieurs chefs d’accusation, dont entre autres, les circonstances de leur participation à une ‘’’manifestation non autorisée’’, qui a occasionnée ‘’la destruction de biens publics et privés’’, de ‘’vol en réunion’’ et de ‘’trouble à l’ordre public’’.
Selon une déclaration officielle du gouvernement ivoirien, 42 personnes avaient été interpellées suite à ces violences. L’émission de deux factures dans le même mois avait suscité en juillet dernier le mécontentement des abonnés de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) qui dénonçaient une augmentation des tarifs.
Ce mécontentement a été violement exprimé, le vendredi 22 juillet dernier à Bouaké dans le Centre-Nord du pays où plusieurs bâtiments administratifs, dont la préfecture de région, le siège du Conseil régional, le service des assiettes des impôts et du cadastre ainsi que l’agence régionale de NSIA Banque ont été pillés et saccagés.
CK/ls
Selon cette source, c’est tardivement dans la soirée de vendredi que ces 19 prévenus (18 adultes et un mineur) ont été transférés vers le Tribunal de Bouaké. ‘’Pour l’heure les prévenus sont entendus par le juge d’instruction qui décidera après une enquête d’ouvrir ou non un procès à leur encontre’’ a précisé cette source.
Les prévenus devront répondre de plusieurs chefs d’accusation, dont entre autres, les circonstances de leur participation à une ‘’’manifestation non autorisée’’, qui a occasionnée ‘’la destruction de biens publics et privés’’, de ‘’vol en réunion’’ et de ‘’trouble à l’ordre public’’.
Selon une déclaration officielle du gouvernement ivoirien, 42 personnes avaient été interpellées suite à ces violences. L’émission de deux factures dans le même mois avait suscité en juillet dernier le mécontentement des abonnés de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) qui dénonçaient une augmentation des tarifs.
Ce mécontentement a été violement exprimé, le vendredi 22 juillet dernier à Bouaké dans le Centre-Nord du pays où plusieurs bâtiments administratifs, dont la préfecture de région, le siège du Conseil régional, le service des assiettes des impôts et du cadastre ainsi que l’agence régionale de NSIA Banque ont été pillés et saccagés.
CK/ls