Abidjan – Le directeur de cabinet adjoint du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mme Salimata Kanté, a ouvert mercredi un atelier consacré à un « Etat des lieux de la recherche scientifique dans les institutions du système d’enseignement supérieur en Côte d’Ivoire : cas de l’université Nangui Abrogoua ».
Financé par le Programme d’appui stratégique à la Recherche scientifique (PASRES), les participants à cet atelier de trois jours, plancheront sur le « le financement de la recherche scientifique par le PASERS », « la gouvernance de la recherche scientifique », « les approches de valorisation des résultats », « le conseil scientifique et l’attribution des sujets de thèse », « les outils d’évaluation de la recherche dans une institution » et « le bilan de la recherche doctorale » dans cette université qui compte 340 thèses de doctorat soutenus depuis sa création en 1996.
Les participants étudieront les idées, les pratiques et les résultats obtenus depuis 2006, pour comprendre la suite réservée aux résultats, produire et reconstituer les données affectées ou détruites lors de la crise postélectorale, a indiqué le président de l'Université Nangui Abrogoua, Pr Tano Yao.
Citant l’exemple du Japon qui a consacré en 2014 quelque 3,6 % de son PIB à la recherche, en corrélation avec son niveau de développement, le secrétaire exécutif du PASRES, Dr Sangaré Yaya a déclaré que « l’un des objectifs majeurs assignés au programme est l’accroissement du nombre d’étudiants en recherche doctorale afin d’assurer la relève scientifique », insistant sur la nécessité de la valorisation des résultats de la recherche pour que les universités soient le moteur et des acteurs importants du développement socio-économique de la Côte d’Ivoire.
Il a vivement souhaité que les autres universités suivent cet exemple de bonne gouvernance de l’université Nangui Abrogoua.
Le directeur de cabinet adjoint a ouvert les travaux en rappelant l’intérêt que le gouvernement accorde à la valorisation de la recherche scientifique pour le développement de la Côte d’Ivoire.
(AIP)
aaa/ask
Financé par le Programme d’appui stratégique à la Recherche scientifique (PASRES), les participants à cet atelier de trois jours, plancheront sur le « le financement de la recherche scientifique par le PASERS », « la gouvernance de la recherche scientifique », « les approches de valorisation des résultats », « le conseil scientifique et l’attribution des sujets de thèse », « les outils d’évaluation de la recherche dans une institution » et « le bilan de la recherche doctorale » dans cette université qui compte 340 thèses de doctorat soutenus depuis sa création en 1996.
Les participants étudieront les idées, les pratiques et les résultats obtenus depuis 2006, pour comprendre la suite réservée aux résultats, produire et reconstituer les données affectées ou détruites lors de la crise postélectorale, a indiqué le président de l'Université Nangui Abrogoua, Pr Tano Yao.
Citant l’exemple du Japon qui a consacré en 2014 quelque 3,6 % de son PIB à la recherche, en corrélation avec son niveau de développement, le secrétaire exécutif du PASRES, Dr Sangaré Yaya a déclaré que « l’un des objectifs majeurs assignés au programme est l’accroissement du nombre d’étudiants en recherche doctorale afin d’assurer la relève scientifique », insistant sur la nécessité de la valorisation des résultats de la recherche pour que les universités soient le moteur et des acteurs importants du développement socio-économique de la Côte d’Ivoire.
Il a vivement souhaité que les autres universités suivent cet exemple de bonne gouvernance de l’université Nangui Abrogoua.
Le directeur de cabinet adjoint a ouvert les travaux en rappelant l’intérêt que le gouvernement accorde à la valorisation de la recherche scientifique pour le développement de la Côte d’Ivoire.
(AIP)
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