Abidjan (Côte d’Ivoire) - Quelque 100 victimes des déchets toxiques ont manifesté, vendredi, à la mi-journée, devant l’Ambassade des États Unis à Abidjan, entamant une ’’grève illimitée de la faim’’, pour réclamer le paiement de leurs indemnisations estimées, selon elles, à 4658 milliards FCFA, a constaté, sur place un journaliste de APA.
Selon Charles Koffi, président du Réseau national des victimes des déchets toxiques de Côte d’Ivoire, ’’ cette grève illimitée de la faim brutalement interrompue par la police ivoirienne sur ordre ordre du préfet de police le 2 août dernier, reprend ce jour devant l’Ambassade des États- Unis pour exiger qu’il soit décerné des mandats d’ arrêts contre Koné Cheick Oumar, Gohourou Claude et autres, dénoncer la rétention irrégulière de l’arrêt de paiement par la Première présidente de la Cour d’appel d’Abidjan-Plateau’’.
M. Koffi dont le Réseau revendique ’’60.000 victimes’’ s’insurge contre ’’la gestion des 22,5 milliards FCFA confiée à l’association des victimes de Claude Gohourou, une structure fictive pour assurer le processus d’indemnisation de toutes les victimes diligenté par Leigh Day and Co’’ .
’’Suite au constat des malversations criardes dans la gestion des dits fonds, 25 mille victimes sur les 29624 concernées par la procédure en cause avaient saisi la juridiction présidentielle du tribunal de 1ère instance du Plateau et avaient obtenu le 19 mars 2010 un séquestre portant sur leur part à hauteur de 18, 750 milliards FCFA, un séquestre régulier signifié à la Sgbci (Société générale de banque de Côte d’Ivoire)’’, explique Charles Koffi, soulignant que ’’le 23 mars 2010, les capitaux qui ont fait l’objet judiciaire s’élèvent à 4658 milliards FCFA destinés à 6624 victimes membres de notre réseau que nous réclamons’’.
Selon M. Koffi, l’ambassade des États-Unis à été choisie pour ’’confier notre sort à la communauté internationale après plusieurs manifestations devant les institutions nationales’’ sans résultats.
MC/hs/ls/APA
Selon Charles Koffi, président du Réseau national des victimes des déchets toxiques de Côte d’Ivoire, ’’ cette grève illimitée de la faim brutalement interrompue par la police ivoirienne sur ordre ordre du préfet de police le 2 août dernier, reprend ce jour devant l’Ambassade des États- Unis pour exiger qu’il soit décerné des mandats d’ arrêts contre Koné Cheick Oumar, Gohourou Claude et autres, dénoncer la rétention irrégulière de l’arrêt de paiement par la Première présidente de la Cour d’appel d’Abidjan-Plateau’’.
M. Koffi dont le Réseau revendique ’’60.000 victimes’’ s’insurge contre ’’la gestion des 22,5 milliards FCFA confiée à l’association des victimes de Claude Gohourou, une structure fictive pour assurer le processus d’indemnisation de toutes les victimes diligenté par Leigh Day and Co’’ .
’’Suite au constat des malversations criardes dans la gestion des dits fonds, 25 mille victimes sur les 29624 concernées par la procédure en cause avaient saisi la juridiction présidentielle du tribunal de 1ère instance du Plateau et avaient obtenu le 19 mars 2010 un séquestre portant sur leur part à hauteur de 18, 750 milliards FCFA, un séquestre régulier signifié à la Sgbci (Société générale de banque de Côte d’Ivoire)’’, explique Charles Koffi, soulignant que ’’le 23 mars 2010, les capitaux qui ont fait l’objet judiciaire s’élèvent à 4658 milliards FCFA destinés à 6624 victimes membres de notre réseau que nous réclamons’’.
Selon M. Koffi, l’ambassade des États-Unis à été choisie pour ’’confier notre sort à la communauté internationale après plusieurs manifestations devant les institutions nationales’’ sans résultats.
MC/hs/ls/APA