Les victimes, membres du Réseau national pour la défense des droits des victimes des déchets toxiques de Côte d’Ivoire (Renadvidet-ci), ont manifesté le vendredi 19 août 2016 devant les locaux d’une ambassade en Côte d’Ivoire.
Selon Koffi Charles, le président dudit réseau, cet attroupement vient marquer la relance d’une grève de la faim que les membres de cette association avaient entamés le jeudi 11 août 2016, et qui a été interrompue suite à une incursion des forces de l’ordre : « Nous avons décidé à partir de ce vendredi 19 août 2016, de reprendre notre grève illimitée de la faim…».
A l’en croire, cette action vise à exiger l’application des mandats d’arrêt contre des personnes condamnées par la 1ère chambre correctionnelle de la Cour d’appel du Plateau, pour avoir utilisé à d’autres fins leur enveloppe d’indemnisation.
Et qui ont été condamnées par la justice à 20 ans de prison ferme, le mercredi 27 juillet 2016.
A travers cette manifestation, Koffi Charles et ses camarades, veulent dénoncer la rétention irrégulière de l’arrêt par la première présidente de la Cour d’appel du Plateau.
Reçues par les responsables de l’ambassade, ces victimes ont remis à leurs interlocuteurs un memo. Ceux-ci leur ont conseillé de se confier au bureau des Nations-Unies en Côte d’Ivoire.
O.I
Selon Koffi Charles, le président dudit réseau, cet attroupement vient marquer la relance d’une grève de la faim que les membres de cette association avaient entamés le jeudi 11 août 2016, et qui a été interrompue suite à une incursion des forces de l’ordre : « Nous avons décidé à partir de ce vendredi 19 août 2016, de reprendre notre grève illimitée de la faim…».
A l’en croire, cette action vise à exiger l’application des mandats d’arrêt contre des personnes condamnées par la 1ère chambre correctionnelle de la Cour d’appel du Plateau, pour avoir utilisé à d’autres fins leur enveloppe d’indemnisation.
Et qui ont été condamnées par la justice à 20 ans de prison ferme, le mercredi 27 juillet 2016.
A travers cette manifestation, Koffi Charles et ses camarades, veulent dénoncer la rétention irrégulière de l’arrêt par la première présidente de la Cour d’appel du Plateau.
Reçues par les responsables de l’ambassade, ces victimes ont remis à leurs interlocuteurs un memo. Ceux-ci leur ont conseillé de se confier au bureau des Nations-Unies en Côte d’Ivoire.
O.I