Les acteurs des organes de régulation et d’autorégulation des médias, que sont le Conseil national de la presse (Cnp), la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca), l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped) et le Conseil supérieur de la publicité (Csp), ont été formés sur les mécanismes nationaux et internationaux de protection de l’enfant. C’était lors d’un séminaire organisé du 18 au 19 août à Grand-Bassam.
Pendant deux jours, ils ont été invités par le Réseau des acteurs des médias pour les droits de l’enfant (Ramede-CI) à s’approprier tous les instruments de protection et de défense des droits des enfants en Côte d’Ivoire.
Selon Koffi Hervé, chef de projet du Forum des Ong, facilitateur de cette formation, il faut éviter d’éduquer l’enfant dans la répression : «La perception de l’enfant a évolué. Et cela a abouti à la création du droit de l’enfant. L’enfant est pour l’Africain, une richesse irremplaçable. C’est pourquoi, l’on doit veiller sur ses droits. Car, l’enfant est un être vulnérable».
Le formateur a ensuite encouragé les organes de régulation et d’autorégulation du secteur des médias, à utiliser les mécanismes mis à leur disposition pour protéger les droits des enfants.
Ki Alain Serges, représentant de l’Association des enfants et des jeunes travailleurs (Aijt) et Lath Akafou, présidente du Parlement des enfants, ont tour à tour félicité le Ramede-ci et son partenaire Save the Children pour les efforts consentis, afin d’amener les médias et les organes de régulation à s’engager résolument dans la promotion des droits de l’enfant.
Pour sa part, Mamadou Doumbia, président du Conseil d’administration du Ramede-CI, a salué la mobilisation des organes de régulation des médias pour cet atelier de renforcement de capacités : «C’est la preuve que la question des droits de l’enfants ne laisse aucun journaliste et acteur des médias indifférents. C’est également la preuve que le travail abattu par le réseau et son partenaire Save the Children depuis plusieurs années, est en train de porter ses fruits. Nous invitons les organes de régulation à appliquer la devise du Ramede-CI et de son partenaire, qui prônent la tolérance zéro pour tous ceux qui violent les droits des enfants. Cet atelier de renforcement de capacités devrait leur permettre de disposer d’outils techniques adéquats pour mieux accomplir leur tâche de contrôle et de régulation des productions médiatiques sur les enfants».
Pendant deux jours, ils ont été invités par le Réseau des acteurs des médias pour les droits de l’enfant (Ramede-CI) à s’approprier tous les instruments de protection et de défense des droits des enfants en Côte d’Ivoire.
Selon Koffi Hervé, chef de projet du Forum des Ong, facilitateur de cette formation, il faut éviter d’éduquer l’enfant dans la répression : «La perception de l’enfant a évolué. Et cela a abouti à la création du droit de l’enfant. L’enfant est pour l’Africain, une richesse irremplaçable. C’est pourquoi, l’on doit veiller sur ses droits. Car, l’enfant est un être vulnérable».
Le formateur a ensuite encouragé les organes de régulation et d’autorégulation du secteur des médias, à utiliser les mécanismes mis à leur disposition pour protéger les droits des enfants.
Ki Alain Serges, représentant de l’Association des enfants et des jeunes travailleurs (Aijt) et Lath Akafou, présidente du Parlement des enfants, ont tour à tour félicité le Ramede-ci et son partenaire Save the Children pour les efforts consentis, afin d’amener les médias et les organes de régulation à s’engager résolument dans la promotion des droits de l’enfant.
Pour sa part, Mamadou Doumbia, président du Conseil d’administration du Ramede-CI, a salué la mobilisation des organes de régulation des médias pour cet atelier de renforcement de capacités : «C’est la preuve que la question des droits de l’enfants ne laisse aucun journaliste et acteur des médias indifférents. C’est également la preuve que le travail abattu par le réseau et son partenaire Save the Children depuis plusieurs années, est en train de porter ses fruits. Nous invitons les organes de régulation à appliquer la devise du Ramede-CI et de son partenaire, qui prônent la tolérance zéro pour tous ceux qui violent les droits des enfants. Cet atelier de renforcement de capacités devrait leur permettre de disposer d’outils techniques adéquats pour mieux accomplir leur tâche de contrôle et de régulation des productions médiatiques sur les enfants».
