Le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Pr BAKAYOKO -Ly Ramata, a lancé, jeudi 11 août 2016, au Pôle scientifique et d’innovation de l’université Félix Houphouët-Boigny, à Bingerville, la bibliothèque virtuelle de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, en prélude à l’ouverture de l’université virtuelle de CI
Lors de la cérémonie de lancement, le ministre Bakayoko-Ly Ramata a laissé entendre que l’objectif est de contribuer à la « démocratisation de l’accès à la connaissance et au savoir », à l’effet de réduire « la fracture de la production scientifique entre le Nord et le Sud ». Elle n’a pas manqué d’exhorter les personnels administratifs et techniques, les informaticiens et documentalistes à la rigueur dans la structuration des données à traiter, pour le respect de la promesse faite à la communauté scientifique et au monde.
« La bibliothèque virtuelle est née grâce à une synergie d’actions des acteurs et des partenaires de l’Enseignement Supérieur. Elle a d’immenses avantages, à savoir l’amélioration de la qualité de la recherche et de l’enseignement, la conservation du patrimoine scientifique pour les générations futures et le rayonnement des institutions de recherche », a-t-elle relevé.
La ministre a conclu en réitérant son engagement à apporter tout son soutien institutionnel, et en appelant au partage du savoir sur cette plate-forme en vue de l’ouverture de la Côte d’Ivoire sur « les autres mondes savants et leur interpénétration ».
Pour sa part, Pr Bertrand MBatchy, Secrétaire général du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) a confié que cette initiative est en phase avec les objectifs et les ambitions de son institution, dans le domaine du numérique éducatif. Et de réaffirmer la volonté de son institution à appuyer la Côte d’Ivoire à travers le programme « silhouette » dont le but est d’ « impulser une dynamique qui promeut un usage intelligent des TIC » et la transition au numérique afin de soutenir les besoins du développement.
Quant à l’expert en numérique éducatif, Pr Lischou Claude, il a salué l’avènement de la bibliothèque virtuelle de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique qui jouera, a-t-il dit, « le rôle d’interface entre les étudiants et une offre de formation diversifiée » où l’étudiant doit participer à des activités pédagogiques. La bibliothèque numérique est selon lui, un excellent « vecteur d’accès à l’information scientifique, critère premier de la compétitivité internationale des universités ». Et d’inviter à la production locale et endogène d’ouvrages numériques, véritable legs aux générations futures.
Les cours et enseignements des professeurs et résultats de travaux de recherche sont désormais disponibles sur le site biblio.universites.edu.ci au profit des étudiants qui pourront dorénavant accéder au bouquet en ligne des différents fonds documentaires.
Outil indispensable d’économie des efforts et des ressources financières, cette bibliothèque vient en appoint au lancement de l’université virtuelle dont s’est dotée la Côte d’Ivoire en vue de répondre à la problématique de la massification des effectifs.
Toutefois, la mise en œuvre de cette innovation requiert la prise de dispositions pour la protection des droits d’auteurs à travers un cadre juridique définissant les contours de la mise à disposition des travaux des enseignants-chercheurs, a plaidé Pr Timité Marguerite de la Société ivoirienne de pédiatrie.
Lors de la cérémonie de lancement, le ministre Bakayoko-Ly Ramata a laissé entendre que l’objectif est de contribuer à la « démocratisation de l’accès à la connaissance et au savoir », à l’effet de réduire « la fracture de la production scientifique entre le Nord et le Sud ». Elle n’a pas manqué d’exhorter les personnels administratifs et techniques, les informaticiens et documentalistes à la rigueur dans la structuration des données à traiter, pour le respect de la promesse faite à la communauté scientifique et au monde.
« La bibliothèque virtuelle est née grâce à une synergie d’actions des acteurs et des partenaires de l’Enseignement Supérieur. Elle a d’immenses avantages, à savoir l’amélioration de la qualité de la recherche et de l’enseignement, la conservation du patrimoine scientifique pour les générations futures et le rayonnement des institutions de recherche », a-t-elle relevé.
La ministre a conclu en réitérant son engagement à apporter tout son soutien institutionnel, et en appelant au partage du savoir sur cette plate-forme en vue de l’ouverture de la Côte d’Ivoire sur « les autres mondes savants et leur interpénétration ».
Pour sa part, Pr Bertrand MBatchy, Secrétaire général du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) a confié que cette initiative est en phase avec les objectifs et les ambitions de son institution, dans le domaine du numérique éducatif. Et de réaffirmer la volonté de son institution à appuyer la Côte d’Ivoire à travers le programme « silhouette » dont le but est d’ « impulser une dynamique qui promeut un usage intelligent des TIC » et la transition au numérique afin de soutenir les besoins du développement.
Quant à l’expert en numérique éducatif, Pr Lischou Claude, il a salué l’avènement de la bibliothèque virtuelle de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique qui jouera, a-t-il dit, « le rôle d’interface entre les étudiants et une offre de formation diversifiée » où l’étudiant doit participer à des activités pédagogiques. La bibliothèque numérique est selon lui, un excellent « vecteur d’accès à l’information scientifique, critère premier de la compétitivité internationale des universités ». Et d’inviter à la production locale et endogène d’ouvrages numériques, véritable legs aux générations futures.
Les cours et enseignements des professeurs et résultats de travaux de recherche sont désormais disponibles sur le site biblio.universites.edu.ci au profit des étudiants qui pourront dorénavant accéder au bouquet en ligne des différents fonds documentaires.
Outil indispensable d’économie des efforts et des ressources financières, cette bibliothèque vient en appoint au lancement de l’université virtuelle dont s’est dotée la Côte d’Ivoire en vue de répondre à la problématique de la massification des effectifs.
Toutefois, la mise en œuvre de cette innovation requiert la prise de dispositions pour la protection des droits d’auteurs à travers un cadre juridique définissant les contours de la mise à disposition des travaux des enseignants-chercheurs, a plaidé Pr Timité Marguerite de la Société ivoirienne de pédiatrie.
