Pour la rentrée politique de son parti, Dr Oumar Yéo, président du Front citoyen pour le renouveau (FCR, opposition centriste) a estimé, jeudi, à Abidjan que ’’la Constitution ivoirienne (...) est l’une des meilleures de la sous-région’’ soulignant que ’’ceux qui réclament sa réécriture aujourd’hui ont appelé à l’approuver en 2000" par voie référendaire.
’’Hormis deux ou trois éléments, notamment l’introduction du Et à la place du Ou et l’amnistie accordée aux acteurs du coup d’Etat de 1999, la Constitution ivoirienne en vigueur est l’une des meilleures de la sous-région en terme de droit, en terme de liberté’’, à rappelé Oumar Yéo, interrogeant ’’où étaient ceux qui la conteste quand tous les partis politiques ont appelé à l’adopter lors du référendum ? ".
Selon lui, ce n’est pas la révision constitutionnelle qui va donner le bonheur au peuple ivoirien. ’’En quoi la création du poste de vice -président ou la mise en place d’un sénat va réduire le chômage galopant, le coût cher de la vie ou résoudre le quotidien des Ivoiriens ? ", a-t-il questionné pour relever ’’l’échec de celui qu’on nous a présenté comme étant le plus grand économiste capable de transformer la vie des Ivoiriens’’.
M. Yéo a fustigé la mise place du comité d’experts chargés d’élaborer la nouvelle loi fondamentale ivoirienne. ’’ Il existe, c’est vrai des experts en Droit mais nulle part dans le monde, il n’y a d’experts pour élaborer une Constitution d’un pays. C’est en Côte d’Ivoire seulement qu’on voit cela. C’est aberrant’’, s’est -il plaint sur la question de la révision constitutionnelle.
C’est pourquoi son parti, le FCR, créé le 20 juin 2010, invite le ’’peuple de Côte d’Ivoire dans toute sa diversité à prendre son destin en mains’’, car explique-t-il ’’les hommes politiques prennent des engagements vis-à-vis des populations mais une fois arrivés au pouvoir, ceux-ci n’ont d’autres soucis que de chercher à s’enrichir implicitement et abusivement’’.
HS/ls/APA
’’Hormis deux ou trois éléments, notamment l’introduction du Et à la place du Ou et l’amnistie accordée aux acteurs du coup d’Etat de 1999, la Constitution ivoirienne en vigueur est l’une des meilleures de la sous-région en terme de droit, en terme de liberté’’, à rappelé Oumar Yéo, interrogeant ’’où étaient ceux qui la conteste quand tous les partis politiques ont appelé à l’adopter lors du référendum ? ".
Selon lui, ce n’est pas la révision constitutionnelle qui va donner le bonheur au peuple ivoirien. ’’En quoi la création du poste de vice -président ou la mise en place d’un sénat va réduire le chômage galopant, le coût cher de la vie ou résoudre le quotidien des Ivoiriens ? ", a-t-il questionné pour relever ’’l’échec de celui qu’on nous a présenté comme étant le plus grand économiste capable de transformer la vie des Ivoiriens’’.
M. Yéo a fustigé la mise place du comité d’experts chargés d’élaborer la nouvelle loi fondamentale ivoirienne. ’’ Il existe, c’est vrai des experts en Droit mais nulle part dans le monde, il n’y a d’experts pour élaborer une Constitution d’un pays. C’est en Côte d’Ivoire seulement qu’on voit cela. C’est aberrant’’, s’est -il plaint sur la question de la révision constitutionnelle.
C’est pourquoi son parti, le FCR, créé le 20 juin 2010, invite le ’’peuple de Côte d’Ivoire dans toute sa diversité à prendre son destin en mains’’, car explique-t-il ’’les hommes politiques prennent des engagements vis-à-vis des populations mais une fois arrivés au pouvoir, ceux-ci n’ont d’autres soucis que de chercher à s’enrichir implicitement et abusivement’’.
HS/ls/APA