Tantie Oussou, de son vrai nom Kouadio Oussou Elisabeth a tiré sa révérence le samedi 27 août 2016, dans une clinique de Cocody. L’Intelligent d’Abidjan était à son domicile, à Cocody-Angré, hier lundi 29 août 2016, où l’un des fils de l’artiste disparue, a décrit les derniers mois…et jours de la vie de Tantie Oussou.
« Elle était souffrante depuis novembre 2015. Par la suite, elle a vécu dans un coma durant 5 jours avant de revenir à la vie pour un temps. Au total, maman a passé un séjour de 21 jours à la clinique Danga de Cocody, avant d’être libérée. Mais, déjà atteinte par la maladie, elle ne s’est plus retrouvée et sa situation était devenue critique. C’est ainsi que je l’ai récupérée pour l’emmener chez moi à Yopougon, afin de mieux la traiter et la suivre. Nous avons donc fait des analyses approfondies et cela nous a fait découvrir qu’elle souffrait d’une insuffisance rénale très avancée. Ses reins étaient déjà atteints à 92% et le compte à rebours contre la mort avait déjà commencé. Cependant, je n’ai pas lésiné sur les moyens et j’ai fait ce qui était en mon pouvoir, en tant que fils pour la soigner. Nous avons alors commencé des séances de dialyse, après quelques traitements. Malgré cela, elle était déjà affaiblie par la maladie, qui finalement a eu raison d’elle », nous a conté l’un des fils de Tantie Oussou, qui a souhaité taire son nom pour des raisons personnelles.
La dernière volonté de Tantie Oussou
Selon ce fils, 10 jours avant sa mort, sa mère a demandé à retourner chez elle à Cocody-Angré, car dit-il, elle éprouvait des difficultés à monter et descendre les escaliers de chez lui.
« 10 jours avant sa mort, elle m’a dit qu’elle avait du mal à se déplacer à cause des escaliers. Et qu’elle voulait retourner chez elle. C’est ainsi que j’ai cédé à sa requête, pour ne pas l’irriter. En réalité, elle ne voulait plus parler à personne, parce que sentait-elle peut être sa mort. Car, arrivée chez elle, elle n’a plus parlé à personne, jusqu’à ce que la mort l’emporte le samedi 27 août 2016, entre 17 et 18 heures », a expliqué ce fils, la mort dans l’âme.
Des mois de dialyse payés d’avance
A l’en croire, il a payé des mois d’avance pour les soins de sa mère pour ne pas que l’on dise que sa mère est décédée par manque de soins ou d’argent. Et ce, soutient-il, jusqu’au mois de septembre 2016. Il dit avoir fait cela, car des personnes ont refusé de lui apporter leur aide à un moment donné de la maladie de sa mère. « Je continue de payer les factures de ses soins et la dernière remonte à ce matin », a-t-il dit, en nous montrant une facture de 150.000 FCFA, payée le lundi 29 août 2016 à 11 heures.
ROK
« Elle était souffrante depuis novembre 2015. Par la suite, elle a vécu dans un coma durant 5 jours avant de revenir à la vie pour un temps. Au total, maman a passé un séjour de 21 jours à la clinique Danga de Cocody, avant d’être libérée. Mais, déjà atteinte par la maladie, elle ne s’est plus retrouvée et sa situation était devenue critique. C’est ainsi que je l’ai récupérée pour l’emmener chez moi à Yopougon, afin de mieux la traiter et la suivre. Nous avons donc fait des analyses approfondies et cela nous a fait découvrir qu’elle souffrait d’une insuffisance rénale très avancée. Ses reins étaient déjà atteints à 92% et le compte à rebours contre la mort avait déjà commencé. Cependant, je n’ai pas lésiné sur les moyens et j’ai fait ce qui était en mon pouvoir, en tant que fils pour la soigner. Nous avons alors commencé des séances de dialyse, après quelques traitements. Malgré cela, elle était déjà affaiblie par la maladie, qui finalement a eu raison d’elle », nous a conté l’un des fils de Tantie Oussou, qui a souhaité taire son nom pour des raisons personnelles.
La dernière volonté de Tantie Oussou
Selon ce fils, 10 jours avant sa mort, sa mère a demandé à retourner chez elle à Cocody-Angré, car dit-il, elle éprouvait des difficultés à monter et descendre les escaliers de chez lui.
« 10 jours avant sa mort, elle m’a dit qu’elle avait du mal à se déplacer à cause des escaliers. Et qu’elle voulait retourner chez elle. C’est ainsi que j’ai cédé à sa requête, pour ne pas l’irriter. En réalité, elle ne voulait plus parler à personne, parce que sentait-elle peut être sa mort. Car, arrivée chez elle, elle n’a plus parlé à personne, jusqu’à ce que la mort l’emporte le samedi 27 août 2016, entre 17 et 18 heures », a expliqué ce fils, la mort dans l’âme.
Des mois de dialyse payés d’avance
A l’en croire, il a payé des mois d’avance pour les soins de sa mère pour ne pas que l’on dise que sa mère est décédée par manque de soins ou d’argent. Et ce, soutient-il, jusqu’au mois de septembre 2016. Il dit avoir fait cela, car des personnes ont refusé de lui apporter leur aide à un moment donné de la maladie de sa mère. « Je continue de payer les factures de ses soins et la dernière remonte à ce matin », a-t-il dit, en nous montrant une facture de 150.000 FCFA, payée le lundi 29 août 2016 à 11 heures.
ROK