Bouna -Les producteurs d’ignames du Bounkani (Nord-Est) plaident pour le reprofilage des pistes villageoises, afin d’écouler leurs produits en toute sécurité.
Les producteurs d’ignames de cette région du pays restent confrontés à de nombreux problèmes dont les voies impraticables et cela impacte négativement leurs activités. Les véhicules s’embourbent fréquemment. Leurs amortisseurs parfois brisés (...) du fait des crevasses.
"On n’a pas de bonnes routes. Elles sont toutes impraticables et ça nous met en retard. Vivement que les collectivités en charge des routes nous aident dans ce sens. La campagne de l’igname a commencé", a indiqué Dah sié Mathias, pisteur et producteur d’ignames à Gborontchara (Bouna)
La traite de l’igname s’étend de septembre à décembre à Bouna, où cette une denrée est l’une des plus prisées. Les tubercules sont écoulés sur les marchés notamment à Abidjan. Une forte pluviométrie cette année à Bouna et dans ses environs présagerait d’une production abondante, fait-on savoir.
on/fmo/akn/ask
Les producteurs d’ignames de cette région du pays restent confrontés à de nombreux problèmes dont les voies impraticables et cela impacte négativement leurs activités. Les véhicules s’embourbent fréquemment. Leurs amortisseurs parfois brisés (...) du fait des crevasses.
"On n’a pas de bonnes routes. Elles sont toutes impraticables et ça nous met en retard. Vivement que les collectivités en charge des routes nous aident dans ce sens. La campagne de l’igname a commencé", a indiqué Dah sié Mathias, pisteur et producteur d’ignames à Gborontchara (Bouna)
La traite de l’igname s’étend de septembre à décembre à Bouna, où cette une denrée est l’une des plus prisées. Les tubercules sont écoulés sur les marchés notamment à Abidjan. Une forte pluviométrie cette année à Bouna et dans ses environs présagerait d’une production abondante, fait-on savoir.
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