La proclamation des résultats de l’élection présidentielle au Gabon qui donnent le Chef de l’Etat sortant, Ali Bongo, vainqueur, a été suivie d’une vague de violentes protestations populaires, dont le point culminant, pour l’heure, est l’incendie de l’Assemblée Nationale.
Ces violences trouvent leur origine notamment dans des accusations de fraudes massives, d’une part, et d’ingérence étrangère dans le processus électoral par un influent Conseiller Spécial du Chef de l’Etat ivoirien, d’autre part.
En entendant une analyse plus approfondie, le Front Populaire Ivoirien (FPI) fait les observations suivantes :
Hier, c’était le président de l’Assemblée Nationale, M. Soro Guillaume, qui s’immisçait dans les affaires intérieures du Burkina Faso en y exportant son expertise en matière de putsch militaire. Cette fois-ci, c’est un autre proche du Chef de l’Etat Ivoirien, Mamadi Diané, qui est pris la main dans le sac de la déstabilisation en introduisant au Gabon des cybercriminels en vue de fausser les résultats du scrutin et en tentant de désorganiser l’institution électorale chargée de proclamer les résultats.
Ce dernier fait s’inscrit dans la culture de la fraude et de la corruption qui caractérisent le régime de M. Alassane Ouattara, attestée notamment par les fraudes électorales massives aux élections présidentielles de 2010 et 2015, d’une part, et par la corruption généralisée qui gangrène les administrations publiques depuis son accession au pouvoir, d’autre part.
le FPI condamne avec la dernière énergie cette propension du régime d’Alassane Ouattara à constamment violé la souveraineté de pays frères par la déstabilisation de leurs institutions.
Le FPI exige, vu la gravité des actes incriminés, lesquels portent atteinte à l’honorabilité et à la crédibilité de la Côte d’Ivoire, que des poursuites judiciaires soient engagées contre toutes les personnes impliquées dans ce complot contre l’Etat Gabonais et ne saurait se satisfaire du simple limogeage de M. Mamadi Diané annoncé par la présidence de la république.
Le FPI exhorte le peuple Gabonais à la sérénité et au sens des responsabilités afin d’éviter que leur pays ne sombre dans le chaos comme cela a été le cas en Côte d’Ivoire à l’occasion de l’élection présidentielle de 2010.
Pour le Front Populaire Ivoirien
la Porte-parole
Agnès Monnet
Ces violences trouvent leur origine notamment dans des accusations de fraudes massives, d’une part, et d’ingérence étrangère dans le processus électoral par un influent Conseiller Spécial du Chef de l’Etat ivoirien, d’autre part.
En entendant une analyse plus approfondie, le Front Populaire Ivoirien (FPI) fait les observations suivantes :
Hier, c’était le président de l’Assemblée Nationale, M. Soro Guillaume, qui s’immisçait dans les affaires intérieures du Burkina Faso en y exportant son expertise en matière de putsch militaire. Cette fois-ci, c’est un autre proche du Chef de l’Etat Ivoirien, Mamadi Diané, qui est pris la main dans le sac de la déstabilisation en introduisant au Gabon des cybercriminels en vue de fausser les résultats du scrutin et en tentant de désorganiser l’institution électorale chargée de proclamer les résultats.
Ce dernier fait s’inscrit dans la culture de la fraude et de la corruption qui caractérisent le régime de M. Alassane Ouattara, attestée notamment par les fraudes électorales massives aux élections présidentielles de 2010 et 2015, d’une part, et par la corruption généralisée qui gangrène les administrations publiques depuis son accession au pouvoir, d’autre part.
le FPI condamne avec la dernière énergie cette propension du régime d’Alassane Ouattara à constamment violé la souveraineté de pays frères par la déstabilisation de leurs institutions.
Le FPI exige, vu la gravité des actes incriminés, lesquels portent atteinte à l’honorabilité et à la crédibilité de la Côte d’Ivoire, que des poursuites judiciaires soient engagées contre toutes les personnes impliquées dans ce complot contre l’Etat Gabonais et ne saurait se satisfaire du simple limogeage de M. Mamadi Diané annoncé par la présidence de la république.
Le FPI exhorte le peuple Gabonais à la sérénité et au sens des responsabilités afin d’éviter que leur pays ne sombre dans le chaos comme cela a été le cas en Côte d’Ivoire à l’occasion de l’élection présidentielle de 2010.
Pour le Front Populaire Ivoirien
la Porte-parole
Agnès Monnet