Le Front populaire ivoirien (FPI), parti fondé par l’ancien président Laurent Gbagbo a invité le peuple gabonais "au sens de la responsabilité", après des violences dans le pays suite à la réélection du président sortant Ali Bongo Ondimba, dans une note transmise jeudi à ALERTE INFO.
"Le FPI exhorte le peuple gabonais à la sérénité et au sens des responsabilités afin d'éviter que leur pays ne sombre dans le chaos comme cela a été le cas en Côte d’Ivoire à l'occasion de l'élection présidentielle de 2010.", indique le communiqué signé par la porte-parole, Agnès Monnet.
Des heurts ont éclaté mercredi à Libreville, la capitale gabonaise dès l'annonce de la réélection M.Bongo devant son principal challenger, Jean Ping. L’Assemblée nationale a été incendiée au cours des manifestations.
Selon les résultats officiels provisoires proclamés par la ministre de l’Intérieur, Pacôme Moubelet-Boubeya, Ali Bongo Ondimba été réélu pour un deuxième septennat avec 49,80% des suffrages contre 48,23% pour M. Ping, l’ex-président de la commission de l’Union africaine (UA).
Le taux de participation s’élève à 59,46% avec 356.890 suffrages exprimés.
Le second tour de l’élection présidentielle ivoirienne de 2010 qui avait opposé, l’ex-président Laurent Gbagbo détenu à la Cour pénale internationale (CPI) à l’actuel chef de l’Etat, Alassane Ouattara s’était soldé par une crise postélectorale ayant fait 3.000 morts et causé le départ en exil des milliers de personnes.
Quelque 627.805 Gabonais étaient appelés samedi à élire leur nouveau président parmi une dizaine de candidats dont Jean Ping, présenté comme le candidat consensuel de l’opposition.
ABL
"Le FPI exhorte le peuple gabonais à la sérénité et au sens des responsabilités afin d'éviter que leur pays ne sombre dans le chaos comme cela a été le cas en Côte d’Ivoire à l'occasion de l'élection présidentielle de 2010.", indique le communiqué signé par la porte-parole, Agnès Monnet.
Des heurts ont éclaté mercredi à Libreville, la capitale gabonaise dès l'annonce de la réélection M.Bongo devant son principal challenger, Jean Ping. L’Assemblée nationale a été incendiée au cours des manifestations.
Selon les résultats officiels provisoires proclamés par la ministre de l’Intérieur, Pacôme Moubelet-Boubeya, Ali Bongo Ondimba été réélu pour un deuxième septennat avec 49,80% des suffrages contre 48,23% pour M. Ping, l’ex-président de la commission de l’Union africaine (UA).
Le taux de participation s’élève à 59,46% avec 356.890 suffrages exprimés.
Le second tour de l’élection présidentielle ivoirienne de 2010 qui avait opposé, l’ex-président Laurent Gbagbo détenu à la Cour pénale internationale (CPI) à l’actuel chef de l’Etat, Alassane Ouattara s’était soldé par une crise postélectorale ayant fait 3.000 morts et causé le départ en exil des milliers de personnes.
Quelque 627.805 Gabonais étaient appelés samedi à élire leur nouveau président parmi une dizaine de candidats dont Jean Ping, présenté comme le candidat consensuel de l’opposition.
ABL
