Une nouvelle organisation est née dans l’univers de la presse africaine. Il s’agit de l’Alliance des associations de médias africains (Alliance of African Media Associations-AAMA). Elle a été lancée sur la base d’un accord entre deux associations : l’Association des pigistes de l’Afrique Australe (Southern African Freelancers' Association-SAFREA) et l’Association des journalistes freelance du Kenya (Association of Freelancer Journalists Kenya-AFJK).
« Sur un continent où l’instabilité politique est répandue, où les économies sont en difficulté et où les informations objectives sont contestées, les pigistes des médias ont besoin de se sentir soutenus », explique le président de la SAFREA, Laura Rawden. Elle place ses espoirs dans le partenariat que son association a noué car celui-ci vise plus globalement à « fournir des ressources et de l’encouragement aux professionnels des médias de l’Afrique, et à promouvoir une industrie robuste des indépendants ».
Le partenariat entre les associations SAFREA et AFJK doit donc permettre une communication ouverte, une planification de la stratégie et un partage des ressources. « Cette seule voix collective est nécessaire », pense Winnie Kamau, la présidente de l’AFJK.
L’association AAMA travaillera à mieux connecter les organisations de médias africains, à rationaliser les efforts ou encore à promouvoir les piges par une législation et des normes. Une attention sera également accordée à la situation des journalistes africains, sur la censure des médias, les violations des droits et d’autres infractions.
« Sur un continent où l’instabilité politique est répandue, où les économies sont en difficulté et où les informations objectives sont contestées, les pigistes des médias ont besoin de se sentir soutenus », explique le président de la SAFREA, Laura Rawden. Elle place ses espoirs dans le partenariat que son association a noué car celui-ci vise plus globalement à « fournir des ressources et de l’encouragement aux professionnels des médias de l’Afrique, et à promouvoir une industrie robuste des indépendants ».
Le partenariat entre les associations SAFREA et AFJK doit donc permettre une communication ouverte, une planification de la stratégie et un partage des ressources. « Cette seule voix collective est nécessaire », pense Winnie Kamau, la présidente de l’AFJK.
L’association AAMA travaillera à mieux connecter les organisations de médias africains, à rationaliser les efforts ou encore à promouvoir les piges par une législation et des normes. Une attention sera également accordée à la situation des journalistes africains, sur la censure des médias, les violations des droits et d’autres infractions.