La présence de l’Afrique au sein de l’athlétisme mondial doit être davantage reconnue au vu de son grand apport, a plaidé, lundi à Dakar, le président de la Confédération africaine d’athlétisme (CAA), Hamad Kalkaba Malboum, au terme de la réunion du Conseil de l’instance continentale.
«L’Afrique, avec 54 associations, représentent 25% des membres de l’IAAF. Notre présence doit être davantage reconnue au sein de l’athlétisme mondial », a-t-il indiqué, à l’issue de ces assises où il était notamment question de dégager les propositions de l’Afrique sur les nouvelles réformes de la gouvernance mondiale de l’athlétisme que la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) compte mettre en œuvre.
Les bons résultats de l’athlétisme continental aux JO de Rio matérialisés par les 28 médailles remportées sur un total de 45 pour le continent sans compter les bons résultats d’athlètes africains courant sous d’autres couleurs sont autant d’arguments qui militent, à ses yeux, en faveur de cette reconnaissance.
Cependant, aucune décision majeure n’a été prise à la réunion du Conseil, à Dakar. «La réflexion se poursuit», souligne M. Malboum.
A sortir d’une crise liée au dopage et à la corruption, l’IAAF a enclenché, en juillet dernier, le processus de réforme de sa gouvernance dont l’adoption est prévue en en décembre 2016.
Outre la limitation du nombre de mandant (3 de quatre ans chacun) et des pouvoirs du président au profit du bureau exécutif, les révoltes envisagées visent à « donner plus de place à la femme dans nos instances», souligne le patron l’athlétisme africain. Devant passer de 6 à 9 en 2019, le nombre de femmes au sein du Conseil doit épouser les contours de la parité (13 femmes pour 13 hommes) à l’horizon 2023.
BD/of/AP
«L’Afrique, avec 54 associations, représentent 25% des membres de l’IAAF. Notre présence doit être davantage reconnue au sein de l’athlétisme mondial », a-t-il indiqué, à l’issue de ces assises où il était notamment question de dégager les propositions de l’Afrique sur les nouvelles réformes de la gouvernance mondiale de l’athlétisme que la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) compte mettre en œuvre.
Les bons résultats de l’athlétisme continental aux JO de Rio matérialisés par les 28 médailles remportées sur un total de 45 pour le continent sans compter les bons résultats d’athlètes africains courant sous d’autres couleurs sont autant d’arguments qui militent, à ses yeux, en faveur de cette reconnaissance.
Cependant, aucune décision majeure n’a été prise à la réunion du Conseil, à Dakar. «La réflexion se poursuit», souligne M. Malboum.
A sortir d’une crise liée au dopage et à la corruption, l’IAAF a enclenché, en juillet dernier, le processus de réforme de sa gouvernance dont l’adoption est prévue en en décembre 2016.
Outre la limitation du nombre de mandant (3 de quatre ans chacun) et des pouvoirs du président au profit du bureau exécutif, les révoltes envisagées visent à « donner plus de place à la femme dans nos instances», souligne le patron l’athlétisme africain. Devant passer de 6 à 9 en 2019, le nombre de femmes au sein du Conseil doit épouser les contours de la parité (13 femmes pour 13 hommes) à l’horizon 2023.
BD/of/AP