En prélude à l’organisation de la table ronde pour la mobilisation des ressources en vue du financement du Plan national multisectoriel de nutrition 2016-2020, prévue les 15 et 16 septembre 2016 à Abidjan, un atelier de formation des médias sur la nutrition a eu lieu du mardi 30 au Mercredi 31 août 2016, à Grand-Bassam.
A l’initiative conjointe du Conseil National de Nutrition (CNN) et de l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), vingt-trois (23) journalistes issus de la presse-écrite, de la radio et de la presse en ligne en Côte d’Ivoire ont pris part à cet atelier de renforcement de capacités.
La situation nutritionnelle en Côte d’Ivoire reste préoccupante malgré les efforts du gouvernement et des autres acteurs intervenants en nutrition. Face à cette situation, le gouvernement ivoirien a décidé de faire de la lutte contre la malnutrition, une priorité, en insistant sur la nécessité de développer une approche multisectorielle et multi-acteurs.
C’est pourquoi, il a autorisé l’organisation d’une table ronde des partenaires techniques et financiers (15 au 16 septembre 2016) pour la mobilisation des ressources nécessaires au financement du Plan national multisectoriel de nutrition (Pnmn).
L’objectif de cet atelier est de former les médias sur la nutrition et les enjeux de la table ronde. Mais spécifiquement de sensibiliser les journalistes et animateurs sur les dégâts de la malnutrition sur l’individu, la communauté et l’économie afin de les amener à publier régulièrement des articles et des reportages sur la nutrition.
« L’activité qui nous réunit aujourd’hui est d’une importance stratégique majeure pour la lutte contre la malnutrition dans notre pays. Ce combat a besoin du rassemblement de toutes nos forces et en particulier celui des média nationaux », a dit le directeur de cabinet adjoint du Premier ministre, Koffi Ahoutou Emmanuel pour qui la malnutrition est la cause de nombreux décès, notamment de femmes et d’enfants.
« Une meilleure visibilité, à travers une bonne communication sur la nutrition et les enjeux de la table ronde pour le financement du Plan National Multisectoriel de Nutrition 2016-2020, appelle la mobilisation de tous les acteurs des média. (…) Il s’agit de doter le quatrième pouvoir, celui de la presse et des médias de façon plus large, d’atouts pour une contribution plus importante à la lutte contre la malnutrition dans notre pays », a-t-il dit.
Pour Dr N’goran Teckly, la Côte d’Ivoire est confrontée à un double fardeau, la sous-nutrition et la surnutrition. Et de nombreux bébés naissent avec un faible poids de naissance. Pour Luc Genot, Représentant Monsieur Germain Dasylva, Représentant résident de la FAO en Côte d’Ivoire, la malnutrition chronique touche au plan national un enfant de moins de cinq ans sur trois.
La nutrition est donc devenue une priorité nationale. Et pour cela, de nombreux efforts restent à faire pour atteindre les cibles visées de l’Assemblée Mondiale de la Santé pour la Nutrition pour 2025.
La contribution de tous les secteurs, à savoir l’agriculture, la santé, la protection sociale, l’hygiène et l’assainissement, l’éducation, sera déterminante pour faire face à cette problématique.
L’objectif de cette formation est de sensibiliser sur la situation nutritionnelle en Côte d’Ivoire, fournir les connaissances nécessaires sur l’approche multisectorielle et permettre la publication régulière d’articles sur la nutrition.
HG
A l’initiative conjointe du Conseil National de Nutrition (CNN) et de l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), vingt-trois (23) journalistes issus de la presse-écrite, de la radio et de la presse en ligne en Côte d’Ivoire ont pris part à cet atelier de renforcement de capacités.
La situation nutritionnelle en Côte d’Ivoire reste préoccupante malgré les efforts du gouvernement et des autres acteurs intervenants en nutrition. Face à cette situation, le gouvernement ivoirien a décidé de faire de la lutte contre la malnutrition, une priorité, en insistant sur la nécessité de développer une approche multisectorielle et multi-acteurs.
C’est pourquoi, il a autorisé l’organisation d’une table ronde des partenaires techniques et financiers (15 au 16 septembre 2016) pour la mobilisation des ressources nécessaires au financement du Plan national multisectoriel de nutrition (Pnmn).
L’objectif de cet atelier est de former les médias sur la nutrition et les enjeux de la table ronde. Mais spécifiquement de sensibiliser les journalistes et animateurs sur les dégâts de la malnutrition sur l’individu, la communauté et l’économie afin de les amener à publier régulièrement des articles et des reportages sur la nutrition.
« L’activité qui nous réunit aujourd’hui est d’une importance stratégique majeure pour la lutte contre la malnutrition dans notre pays. Ce combat a besoin du rassemblement de toutes nos forces et en particulier celui des média nationaux », a dit le directeur de cabinet adjoint du Premier ministre, Koffi Ahoutou Emmanuel pour qui la malnutrition est la cause de nombreux décès, notamment de femmes et d’enfants.
« Une meilleure visibilité, à travers une bonne communication sur la nutrition et les enjeux de la table ronde pour le financement du Plan National Multisectoriel de Nutrition 2016-2020, appelle la mobilisation de tous les acteurs des média. (…) Il s’agit de doter le quatrième pouvoir, celui de la presse et des médias de façon plus large, d’atouts pour une contribution plus importante à la lutte contre la malnutrition dans notre pays », a-t-il dit.
Pour Dr N’goran Teckly, la Côte d’Ivoire est confrontée à un double fardeau, la sous-nutrition et la surnutrition. Et de nombreux bébés naissent avec un faible poids de naissance. Pour Luc Genot, Représentant Monsieur Germain Dasylva, Représentant résident de la FAO en Côte d’Ivoire, la malnutrition chronique touche au plan national un enfant de moins de cinq ans sur trois.
La nutrition est donc devenue une priorité nationale. Et pour cela, de nombreux efforts restent à faire pour atteindre les cibles visées de l’Assemblée Mondiale de la Santé pour la Nutrition pour 2025.
La contribution de tous les secteurs, à savoir l’agriculture, la santé, la protection sociale, l’hygiène et l’assainissement, l’éducation, sera déterminante pour faire face à cette problématique.
L’objectif de cette formation est de sensibiliser sur la situation nutritionnelle en Côte d’Ivoire, fournir les connaissances nécessaires sur l’approche multisectorielle et permettre la publication régulière d’articles sur la nutrition.
HG