Il y a des événements que des peuples digèrent difficilement. C’est le cas du coup d’Etat militaire survenu en Côte d’Ivoire à la fin de l’année 1999.
Ce putsch auquel a pris part l’un des fils du terroir Gouro, en la personne de feu le colonel Moassi Grena, ancien ministre de l'Intérieur sous la transition militaire, décédé en 2014, n’a jamais été digéré par les siens.
Le chef du village de Yaofla, Guy Diby Koffi, qui nous en a fait la confidence jeudi dernier, à son cabinet sis au centre-ville d’Oumé, n’a pas caché la gêne qu’a ressentie la chefferie de ce département. « Quand il y a eu le coup d’Etat de 1999, on a eu froid dans le dos. L’un de nos enfants était l’un des leaders de ce pustch. Au niveau traditionnel, nous n’avons pas... suite de l'article sur L’Inter
Ce putsch auquel a pris part l’un des fils du terroir Gouro, en la personne de feu le colonel Moassi Grena, ancien ministre de l'Intérieur sous la transition militaire, décédé en 2014, n’a jamais été digéré par les siens.
Le chef du village de Yaofla, Guy Diby Koffi, qui nous en a fait la confidence jeudi dernier, à son cabinet sis au centre-ville d’Oumé, n’a pas caché la gêne qu’a ressentie la chefferie de ce département. « Quand il y a eu le coup d’Etat de 1999, on a eu froid dans le dos. L’un de nos enfants était l’un des leaders de ce pustch. Au niveau traditionnel, nous n’avons pas... suite de l'article sur L’Inter