Yamoussoukro - La spécialiste en communication pour le développement à l’UNICEF Côte d’Ivoire Mme Raïssa Vanian a exprimé mercredi à Yamoussoukro lors d’un atelier de formation des animateurs des radios communautaires l’engagement de l’agence de l’ONU à accompagner les efforts innovants des radios de proximité pour la promotion des droits des enfants.
Selon la représentante de l’UNICEF malgré les efforts consentis depuis plusieurs années pour la promotion des droits des enfants les indicateurs ne sont pas satisfaisant. En Côte d’Ivoire plus de 4 000 enfants sont encore victimes de traite frontalière. Seulement 62 % des enfants ivoiriens sont scolarisés. Le taux de mortalité des moins de cinq ans s’élève à 119 pour mille, soit un enfant sur dix environ meurent à la naissance.
« Cela nous interpelle tous et exige que revoyions nos copies pour des actions innovantes », a recommandé la représentante de l’UNICEF. Elle a préconisé l’adoption d’une approche « stratégique harmonisée de communication participative » capable de contribuer de façon « efficiente et durable » au développement harmonieux de l’enfant et à sa protection, mais également de susciter tous les changements au sein des communautés et des institutions en vue de permettre à la Côte d’Ivoire d’être au rendez-vous de l’atteinte des objectifs pour le développement durable d’ici 2030.
Initié par l’union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (URPCI) en partenariat avec l’UNICEF, l’atelier de formation à la communication participative pour la promotion des droits de l’enfant rassemble 38 responsables des radios conventionnées et va durer trois jours.
Il s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « radio amie des enfants ». Il vise à renforcer la capacité des participants en vue de réaliser avec l’implication des leaders communautaires, les professionnels de la santé et les religieux des programmes radiophoniques axés sur le droit des enfants. « Avec un accent sur la santé, la protection, la nutrition, l’éducation, l’accès à l’eau hygiène, l’assainissement et le Vih / Sida à diffuser dans leur localité pendant neuf mois que va durer le projet », a fait savoir Karamoko Bamba le président de l’URPCI.
(AIP)
nam/ask
Selon la représentante de l’UNICEF malgré les efforts consentis depuis plusieurs années pour la promotion des droits des enfants les indicateurs ne sont pas satisfaisant. En Côte d’Ivoire plus de 4 000 enfants sont encore victimes de traite frontalière. Seulement 62 % des enfants ivoiriens sont scolarisés. Le taux de mortalité des moins de cinq ans s’élève à 119 pour mille, soit un enfant sur dix environ meurent à la naissance.
« Cela nous interpelle tous et exige que revoyions nos copies pour des actions innovantes », a recommandé la représentante de l’UNICEF. Elle a préconisé l’adoption d’une approche « stratégique harmonisée de communication participative » capable de contribuer de façon « efficiente et durable » au développement harmonieux de l’enfant et à sa protection, mais également de susciter tous les changements au sein des communautés et des institutions en vue de permettre à la Côte d’Ivoire d’être au rendez-vous de l’atteinte des objectifs pour le développement durable d’ici 2030.
Initié par l’union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (URPCI) en partenariat avec l’UNICEF, l’atelier de formation à la communication participative pour la promotion des droits de l’enfant rassemble 38 responsables des radios conventionnées et va durer trois jours.
Il s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « radio amie des enfants ». Il vise à renforcer la capacité des participants en vue de réaliser avec l’implication des leaders communautaires, les professionnels de la santé et les religieux des programmes radiophoniques axés sur le droit des enfants. « Avec un accent sur la santé, la protection, la nutrition, l’éducation, l’accès à l’eau hygiène, l’assainissement et le Vih / Sida à diffuser dans leur localité pendant neuf mois que va durer le projet », a fait savoir Karamoko Bamba le président de l’URPCI.
(AIP)
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