Issia - Des parents d'élèves dénoncent des frais scolaires exigés après les inscriptions en ligne à l’occasion de la rentrée scolaires 2016/2017 qui montent parfois à 25 000F par affecté de l’Etat dans les établissements privés et 15 000 frs dans certains lycées, a constaté l’AIP sur place.
«Après les inscriptions en ligne qui s’élèvent à 6 000F, je dois payer 13 000 fcfa pour mon fils en terminal et 7500 fcfa pour ma fille en classe de cinquième. Dès que tu mets pied au lycée on te tend la liste des frais annexes », a relevé, mardi, un instituteur à la retraite, Kouamé Koffi, au premier jour de la rentrée.
Tout comme lui Dame Guedé qui travaille à l’hôpital général ne comprend pas le sens des deux types d’inscription à savoir l’inscription en ligne homologuée par l’Etat et l’inscription physique qui reste à l’appréciation des établissements,.
Pour le président du Comité de gestion des établissements scolaires (Coges) d’un lycée d’Issia, Yao Pacôme, les chefs d’établissement se cachent derrière les COGES pour exiger des frais aux parents. Par exemple, a-t-il expliqué, "la poste n’émet plus des courriers mais on nous exige des frais de poste à 1300F pour les bulletins de nos enfants qui ne passent jamais à la poste".
Au deuxième jour de la rentrée scolaire, mercredi, les écoles sont toujours fermées, signale-t-on.
(AIP)
bop/kkf/ask
«Après les inscriptions en ligne qui s’élèvent à 6 000F, je dois payer 13 000 fcfa pour mon fils en terminal et 7500 fcfa pour ma fille en classe de cinquième. Dès que tu mets pied au lycée on te tend la liste des frais annexes », a relevé, mardi, un instituteur à la retraite, Kouamé Koffi, au premier jour de la rentrée.
Tout comme lui Dame Guedé qui travaille à l’hôpital général ne comprend pas le sens des deux types d’inscription à savoir l’inscription en ligne homologuée par l’Etat et l’inscription physique qui reste à l’appréciation des établissements,.
Pour le président du Comité de gestion des établissements scolaires (Coges) d’un lycée d’Issia, Yao Pacôme, les chefs d’établissement se cachent derrière les COGES pour exiger des frais aux parents. Par exemple, a-t-il expliqué, "la poste n’émet plus des courriers mais on nous exige des frais de poste à 1300F pour les bulletins de nos enfants qui ne passent jamais à la poste".
Au deuxième jour de la rentrée scolaire, mercredi, les écoles sont toujours fermées, signale-t-on.
(AIP)
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