Ancien président des directeurs de publication de Côte d’Ivoire. Patrice Pohé a décidé de se porter candidat à la candidature pour les législatives à venir au sein de son parti, le Rassemblement des Républicains (Rdr) à Bangolo. Il se confie à L’Intelligent d’Abidjan.
Vous êtes candidat à la candidature au sein de votre formation politique, le Rdr dans la circonscription électorale de Bangolo. Confirmez-vous cette information?
Effectivement, je suis candidat à la candidature du Rdr à Bangolo. J’ai tout donné à ce parti et aujourd’hui Bangolo a besoin d’un sang neuf, Bangolo a besoin de se réconcilier avec elle-même, être dans la mouvance du vivre-ensemble, prendre sa place dans le train de l’émergence. La ville de Bangolo qui était considérée hier comme le bastion imprenable du Front populaire ivoirien, est résolument tournée désormais vers la politique de bonne gouvernance du Président Alassane Ouattara. Il n’y a pas meilleure personne que moi. Je suis donc la personne la mieux indiquée à postuler à la candidature pour être le député de Bangolo parce j’estime que je suis la personne idoine à porter les idéaux du parti, la voix du peuple de Bangolo.
Au sein de votre parti, le Rdr, il y a des cadres qui veulent se présenter également dans cette circonscription. Pensez-vous que la direction peut retenir votre candidature ?
La direction peut retenir ma candidature. Et il y a une seule raison. Le député sortant pour lequel j’ai battu campagne et dont j’ai été directeur de campagne n’est pas partant. Certes, je respecte les autres cadres qui ont postulé et je leur dis merci mais nous avons un sérieux politique qui tranche. Nous avons été élu pour être le départemental il y a deux ans. Nous n’avons donc pas usurpé ce poste. Nous avons ce pouvoir politique dans la région. Il nous appartient de nous faire confiance. Nous faisons aussi confiance à la direction du parti qui sait reconnaître les mérites de chacun de nous et depuis 20 ans, je pense que la direction sait ce que j’ai fait pour le parti. Nous avons œuvré pour son implantation. Il faut savoir que nous ne sommes pas des militants de salon ou de chambre, nous sommes des militants de terrain. Et si aujourd’hui le Rdr a un poste électif à Bangolo, c’est nous qui avons bataillé dur. Nous avons aujourd’hui grâce à notre combat, à notre persévérance, notre vision éclairée, permis aux populations de mener des activités pour le parti. Ce siège, il faut le garder. Et donc la meilleure manière de le garder, c’est la candidature de Patrice Pohé.
Pour les élections législatives à venir, le Fpi a fait le rappel de ses cadres pour briguer certains postes électifs. Pensez-vous que vous pouvez conserver le poste dans une zone réputée être le bastion de l’ancien régime si le choix de la direction du Rdr se portait sur vous ?
C’est justement le retour du Fpi qui doit emmener la direction du Rdr à choisir l’un des cadres connus et présents sur le terrain. Un cadre qui vit le parti, qui a posé des actions fortes à l’endroit de nos populations. C’est en ce sens que nous devons être retenus car nous connaissons bien le Fpi. C’est vrai que le Fpi était aimé à Bangolo mais aujourd’hui ce sont de vieux souvenirs. Nous avons l’avantage de nous appuyer sur le bilan positif du Président de la République. Nous avons gagné l’élection présidentielle à 70% en 2015 contre 13% en 2010. Cela signifie qu’un bond qualitatif a été fait. Il y a un travail qui est fait sur le terrain. En outre, le Rdr a remporté 1 siège sur 2 lors des dernières législatives. Le Rdr est devenu la meilleure force locale. Et nous pouvons le démontrer pendant les législatives à venir. Nous avons des chances de gagner parce que nous nous connaissons bien sur le terrain. Le Fpi ne fait plus peur. On ne peut pas continuer d’égarer le peuple. Le Fpi a fait 10 ans et le Président Alassane Ouattara a fait 5 ans. Et chaque parti défendra le bilan de son mentor. Nos populations ne sont pas dupes, elles sont bien éclairées. Ce sont donc les programmes de gouvernement qui vont trancher. Nous avons la faveur du bilan du Président qui a réalisé beaucoup de choses en si peu de temps.
Réalisé par N.Y
Vous êtes candidat à la candidature au sein de votre formation politique, le Rdr dans la circonscription électorale de Bangolo. Confirmez-vous cette information?
Effectivement, je suis candidat à la candidature du Rdr à Bangolo. J’ai tout donné à ce parti et aujourd’hui Bangolo a besoin d’un sang neuf, Bangolo a besoin de se réconcilier avec elle-même, être dans la mouvance du vivre-ensemble, prendre sa place dans le train de l’émergence. La ville de Bangolo qui était considérée hier comme le bastion imprenable du Front populaire ivoirien, est résolument tournée désormais vers la politique de bonne gouvernance du Président Alassane Ouattara. Il n’y a pas meilleure personne que moi. Je suis donc la personne la mieux indiquée à postuler à la candidature pour être le député de Bangolo parce j’estime que je suis la personne idoine à porter les idéaux du parti, la voix du peuple de Bangolo.
Au sein de votre parti, le Rdr, il y a des cadres qui veulent se présenter également dans cette circonscription. Pensez-vous que la direction peut retenir votre candidature ?
La direction peut retenir ma candidature. Et il y a une seule raison. Le député sortant pour lequel j’ai battu campagne et dont j’ai été directeur de campagne n’est pas partant. Certes, je respecte les autres cadres qui ont postulé et je leur dis merci mais nous avons un sérieux politique qui tranche. Nous avons été élu pour être le départemental il y a deux ans. Nous n’avons donc pas usurpé ce poste. Nous avons ce pouvoir politique dans la région. Il nous appartient de nous faire confiance. Nous faisons aussi confiance à la direction du parti qui sait reconnaître les mérites de chacun de nous et depuis 20 ans, je pense que la direction sait ce que j’ai fait pour le parti. Nous avons œuvré pour son implantation. Il faut savoir que nous ne sommes pas des militants de salon ou de chambre, nous sommes des militants de terrain. Et si aujourd’hui le Rdr a un poste électif à Bangolo, c’est nous qui avons bataillé dur. Nous avons aujourd’hui grâce à notre combat, à notre persévérance, notre vision éclairée, permis aux populations de mener des activités pour le parti. Ce siège, il faut le garder. Et donc la meilleure manière de le garder, c’est la candidature de Patrice Pohé.
Pour les élections législatives à venir, le Fpi a fait le rappel de ses cadres pour briguer certains postes électifs. Pensez-vous que vous pouvez conserver le poste dans une zone réputée être le bastion de l’ancien régime si le choix de la direction du Rdr se portait sur vous ?
C’est justement le retour du Fpi qui doit emmener la direction du Rdr à choisir l’un des cadres connus et présents sur le terrain. Un cadre qui vit le parti, qui a posé des actions fortes à l’endroit de nos populations. C’est en ce sens que nous devons être retenus car nous connaissons bien le Fpi. C’est vrai que le Fpi était aimé à Bangolo mais aujourd’hui ce sont de vieux souvenirs. Nous avons l’avantage de nous appuyer sur le bilan positif du Président de la République. Nous avons gagné l’élection présidentielle à 70% en 2015 contre 13% en 2010. Cela signifie qu’un bond qualitatif a été fait. Il y a un travail qui est fait sur le terrain. En outre, le Rdr a remporté 1 siège sur 2 lors des dernières législatives. Le Rdr est devenu la meilleure force locale. Et nous pouvons le démontrer pendant les législatives à venir. Nous avons des chances de gagner parce que nous nous connaissons bien sur le terrain. Le Fpi ne fait plus peur. On ne peut pas continuer d’égarer le peuple. Le Fpi a fait 10 ans et le Président Alassane Ouattara a fait 5 ans. Et chaque parti défendra le bilan de son mentor. Nos populations ne sont pas dupes, elles sont bien éclairées. Ce sont donc les programmes de gouvernement qui vont trancher. Nous avons la faveur du bilan du Président qui a réalisé beaucoup de choses en si peu de temps.
Réalisé par N.Y