Le président du Front populaire ivoirien (FPI, opposition) Pascal Affi N’guessan a déclaré jeudi que son récent appel à la réconciliation avec ses adversaires au sein du parti “n’est pas un aveu de faiblesse’’ mais plutôt “un acte de responsabilité’’.
“Nous assumons notre responsabilité qui est de rassembler. C’est donc au nom de cette responsabilité que nous lançons cet appel (…) Ce n’est pas un aveu de faiblesse, c’est un acte de responsabilité’’, a déclaré Affi N’guessan, lors d’une conférence de presse, au siège du parti à Cocody (est d’Abidjan).
Pour l’ancien Premier ministre, son appel vise à “créer les conditions’’ pour un retour de ses adversaires qu’il considère comme étant “à la périphérie du parti’’.
“Nous tendons la main pas parce que nous ne pouvons pas continuer notre lutte mais parce que nous pensons que chacun d’entre eux à sa place au FPI’’, a-t-il poursuivi, se disant “convaincu’’ que ses anciens camarades “ne sont pas à l’aise là où ils sont’’.
Samedi, Pascal Affi N’guessan a appelé ses adversaires internes à "un cessez-le feu" pour mettre fin à deux ans de crise interne et invité leur chef de file Aboudramane Sangaré à "donner un contenu au combat pour la libération" du fondateur du parti, Laurent Gbagbo.
Son appel a été aussitôt rejeté par le camp adverse et souvent par des mots durs. Mais le président contesté du FPI a décidé de prendre l’histoire à témoin.
“Il faut que l’histoire retienne que nous avons lancé cet appel. L’histoire retiendra aussi la réponse que chacun d’entre nous apportera à cet appel. Mais il ne faudrait pas qu’il soit dit que nous n’avons rien fait pour construire l’unité du FPI’’, a-t-il conclu.
Serge Alain KOFFI
“Nous assumons notre responsabilité qui est de rassembler. C’est donc au nom de cette responsabilité que nous lançons cet appel (…) Ce n’est pas un aveu de faiblesse, c’est un acte de responsabilité’’, a déclaré Affi N’guessan, lors d’une conférence de presse, au siège du parti à Cocody (est d’Abidjan).
Pour l’ancien Premier ministre, son appel vise à “créer les conditions’’ pour un retour de ses adversaires qu’il considère comme étant “à la périphérie du parti’’.
“Nous tendons la main pas parce que nous ne pouvons pas continuer notre lutte mais parce que nous pensons que chacun d’entre eux à sa place au FPI’’, a-t-il poursuivi, se disant “convaincu’’ que ses anciens camarades “ne sont pas à l’aise là où ils sont’’.
Samedi, Pascal Affi N’guessan a appelé ses adversaires internes à "un cessez-le feu" pour mettre fin à deux ans de crise interne et invité leur chef de file Aboudramane Sangaré à "donner un contenu au combat pour la libération" du fondateur du parti, Laurent Gbagbo.
Son appel a été aussitôt rejeté par le camp adverse et souvent par des mots durs. Mais le président contesté du FPI a décidé de prendre l’histoire à témoin.
“Il faut que l’histoire retienne que nous avons lancé cet appel. L’histoire retiendra aussi la réponse que chacun d’entre nous apportera à cet appel. Mais il ne faudrait pas qu’il soit dit que nous n’avons rien fait pour construire l’unité du FPI’’, a-t-il conclu.
Serge Alain KOFFI