Dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002, il est aux alentours de 3h du matin quand des hommes en armes lancent l’assaut sur plusieurs casernes et gendarmeries d’Abidjan. Mais la capitale économique n’est pas la seule ville à s’embraser. De manière simultanée, des attaques identiques sont menées dans le nord ivoirien, à Bouaké et Korhogo…
Dans la matinée du 19 septembre, une épaisse masse nuageuse recouvre le sud du pays. Le ciel est lourd. La confusion règne dans les rangs de l’armée qui ne va cependant pas tarder à lancer sa riposte. Mais contre qui doit-elle se battre ? À Abidjan, il semble tout d’abord que les assaillants soient des soldats de l’armée ivoirienne ayant appris qu’ils en seraient prochainement exclus. Une chose est sûre : la Côte... suite de l'article sur Jeune Afrique
Dans la matinée du 19 septembre, une épaisse masse nuageuse recouvre le sud du pays. Le ciel est lourd. La confusion règne dans les rangs de l’armée qui ne va cependant pas tarder à lancer sa riposte. Mais contre qui doit-elle se battre ? À Abidjan, il semble tout d’abord que les assaillants soient des soldats de l’armée ivoirienne ayant appris qu’ils en seraient prochainement exclus. Une chose est sûre : la Côte... suite de l'article sur Jeune Afrique