Le directeur général de la Société de développement des forêts de Côte d'Ivoire (Sodefor) Mamadou Sangaré a exprimé jeudi à Abidjan l'engagement des autorités forestières ivoiriennes à endiguer le fléau de la déforestation abusive.
Selon M. Sangaré qui s'exprimait lors d'une rencontre des experts, le gouvernement a mené des actions de sensibilisation et parfois de répression dans l'optique de la protection et la régénération du couvert forestier.
"Il est question de prendre des mesures rigoureuses de protection afin que l'homme ne perturbe plus ce qui reste de la forêt classée en Côte d'Ivoire", a-t-il noté.
"Aujourd'hui nous avons mis en place un nouveau système baptisé "contractualisation" et qui consiste à passer un accord avec le clandestin afin qu'il exploite sa parcelle, la protège tout en vivant hors de la forêt, a expliqué le responsable de la Sodefor.
Mamadou Sangaré a déploré la situation désastreuse dans laquelle se trouve la forêt ivoirienne.
"La quasi-totalité des forêts classées de Côte d'Ivoire est en voie de destruction en raison des occupations illégales et des défrichements sauvages. Des 234 forêts classées d'une superficie globale d'environ 4,2 millions d'hectares en 1960, il ne reste plus que 1,3 millions d'hectares de forets encore non dégradée", a-t-il fustigé.
Le couvert forestier de la Côte d'Ivoire est fortement menacée de disparition. Au vu des désastres, le gouvernement a décidé de prendre des mesures en vue de protéger la forêt et la faune.
Lors d'une récente rencontre, le ministre ivoirien en charge des Eaux et Forêts avait souligné que la préservation de la forêt était "vitale" pour le "maintien de l'équilibre climatique" et la promotion de "l'éco-tourisme".
Selon M. Sangaré qui s'exprimait lors d'une rencontre des experts, le gouvernement a mené des actions de sensibilisation et parfois de répression dans l'optique de la protection et la régénération du couvert forestier.
"Il est question de prendre des mesures rigoureuses de protection afin que l'homme ne perturbe plus ce qui reste de la forêt classée en Côte d'Ivoire", a-t-il noté.
"Aujourd'hui nous avons mis en place un nouveau système baptisé "contractualisation" et qui consiste à passer un accord avec le clandestin afin qu'il exploite sa parcelle, la protège tout en vivant hors de la forêt, a expliqué le responsable de la Sodefor.
Mamadou Sangaré a déploré la situation désastreuse dans laquelle se trouve la forêt ivoirienne.
"La quasi-totalité des forêts classées de Côte d'Ivoire est en voie de destruction en raison des occupations illégales et des défrichements sauvages. Des 234 forêts classées d'une superficie globale d'environ 4,2 millions d'hectares en 1960, il ne reste plus que 1,3 millions d'hectares de forets encore non dégradée", a-t-il fustigé.
Le couvert forestier de la Côte d'Ivoire est fortement menacée de disparition. Au vu des désastres, le gouvernement a décidé de prendre des mesures en vue de protéger la forêt et la faune.
Lors d'une récente rencontre, le ministre ivoirien en charge des Eaux et Forêts avait souligné que la préservation de la forêt était "vitale" pour le "maintien de l'équilibre climatique" et la promotion de "l'éco-tourisme".