Divo – Le secrétaire général adjoint du rassemblement des républicains (Rdr, pouvoir), Philippe Légré, a relevé, vendredi à Divo l'importance d'adopter une nouvelle Constitution, afin de "permettre aux Ivoiriens de vivre ensemble, de s’aimer et permettre à la Côte d’Ivoire d’avancer dans la paix".
M. Légré estime qu'il faut changer l'actuelle Constitution, votée en 2000 sous la transition militaire, et qui à son avis, est à l'origine des crises vécues en Côte d'Ivoire depuis lors et qui ont débouché sur la crise post-électorale de 2010-2011 ayant fait plus de 3000 morts.
"A propos de la nouvelle Constitution, certains disent qu’ils n’ont pas encore vu les textes. Mais ceux qui sont là ont déjà fait plus de 3000 morts. Si la Constitution actuelle était un homme on la mettrait en prison », a-t-il déclaré lors de l’installation officielle des coordinations communale et sous-préfectorales du rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et pour la paix (Rhdp) de Divo.
Il a invité les militants du Rhdp à ne pas écouter ceux qui s’opposent à l’élaboration d’une nouvelle Constitution, leur demandant de la voter massivement comme ils l’ont fait lors de la réélection le 25 octobre 2015 du président, Alassane Ouattara.
gso/ask
M. Légré estime qu'il faut changer l'actuelle Constitution, votée en 2000 sous la transition militaire, et qui à son avis, est à l'origine des crises vécues en Côte d'Ivoire depuis lors et qui ont débouché sur la crise post-électorale de 2010-2011 ayant fait plus de 3000 morts.
"A propos de la nouvelle Constitution, certains disent qu’ils n’ont pas encore vu les textes. Mais ceux qui sont là ont déjà fait plus de 3000 morts. Si la Constitution actuelle était un homme on la mettrait en prison », a-t-il déclaré lors de l’installation officielle des coordinations communale et sous-préfectorales du rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et pour la paix (Rhdp) de Divo.
Il a invité les militants du Rhdp à ne pas écouter ceux qui s’opposent à l’élaboration d’une nouvelle Constitution, leur demandant de la voter massivement comme ils l’ont fait lors de la réélection le 25 octobre 2015 du président, Alassane Ouattara.
gso/ask