L’Unité de formation et de recherches (Ufr) des Sciences économiques et de développement de l’université Alassane Ouattara de Bouaké a à son actif 41 nouveaux docteurs (21 en Sciences de gestion et 20 en Sciences économiques). Ils ont présenté leurs travaux de thèse le lundi 19 septembre 2016 dans l’enceinte de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké.
Kodjo Michel, vice-président de ladite Université, au nom du Président Lazare Poamé a salué le sérieux qui a guidé l’encadrement des doctorants sous la supervision du professeur Anassé Adja Anassé, doyen de l’Ufr des Sciences économiques et de gestion. « Grâce à votre abnégation, nous avons 41 docteurs, cadres de développement », a déclaré le vice-président de l’université de Bouaké. Tout en félicitant le professeur Anassé Adja Anassé Augustin, non sans oublier ses prédécesseurs qui ont tracé les sillons. A l’endroit des impétrants, le professeur Kodjo Michel a salué leurs efforts, car pour lui, beaucoup commencent et n’arrivent pas à terme : « Certains étudiants commencent et s’arrêtent en chemin », a-t-il déploré. Il n’a pas manqué de signaler que l’Ufr des sciences économiques est mal cotée au niveau des ressources humaines
Au sujet du développement de la Côte d’Ivoire qui ambitionne d’être un pays émergent à l’horizon 2020, le professeur Kodjo Michel a donné l’assurance que l’université de Bouaké est résolument engagée dans cette direction en donnant une formation de qualité aux étudiants. L’une des preuves, a-t-il ajouté, se traduit par la soutenance des 41 nouveaux docteurs contre 4 en 2015 pour ce qui est des premières soutenances. Il a demandé à Mme Amani Hortense Lobouet, sous-préfet de Bouaké représentant le préfet de traduire au Chef de l’Etat la volonté de l’institution à l’accompagner sur le chemin de l’émergence : «Mme le sous-préfet, dites au président de la République que nous voulons l’accompagner sur la voie de l’émergence ». Pour sa part, le professeur Anassé Adja Anassé Augustin a vanté les mérites de ses prédécesseurs dont feu le professeur Koné Ismaïla. Il a qualifié ce dernier de «véritable architecte de ce noble chantier ». En outre, le professeur Anassé Anassé a signifié que les doctorants ont bénéficié tout au long des 5 ans de la formation, de l’encadrement conjoint en plus des professeurs ivoiriens, des professeurs de la sous-région et de la France. « C’est le fruit d’un travail collectif, ils ont accepté de faire des sacrifices sans grands moyens et d’aider la Côte d’Ivoire » a-t-il souligné. Quant au professeur Gérard Cliquet, de l’université Rennes 1 de France, il a traduit sa joie de participer à ces soutenances parce que « le grand maître de cette cérémonie, le professeur Anassé Augustin fut son premier doctorant ». Pour Amani Hortense Lobouet, sous-préfet de Bouaké « ces travaux contribueront à l’émergence socio-économique de la Côte d‘Ivoire ».
Ernest Famin
Kodjo Michel, vice-président de ladite Université, au nom du Président Lazare Poamé a salué le sérieux qui a guidé l’encadrement des doctorants sous la supervision du professeur Anassé Adja Anassé, doyen de l’Ufr des Sciences économiques et de gestion. « Grâce à votre abnégation, nous avons 41 docteurs, cadres de développement », a déclaré le vice-président de l’université de Bouaké. Tout en félicitant le professeur Anassé Adja Anassé Augustin, non sans oublier ses prédécesseurs qui ont tracé les sillons. A l’endroit des impétrants, le professeur Kodjo Michel a salué leurs efforts, car pour lui, beaucoup commencent et n’arrivent pas à terme : « Certains étudiants commencent et s’arrêtent en chemin », a-t-il déploré. Il n’a pas manqué de signaler que l’Ufr des sciences économiques est mal cotée au niveau des ressources humaines
Au sujet du développement de la Côte d’Ivoire qui ambitionne d’être un pays émergent à l’horizon 2020, le professeur Kodjo Michel a donné l’assurance que l’université de Bouaké est résolument engagée dans cette direction en donnant une formation de qualité aux étudiants. L’une des preuves, a-t-il ajouté, se traduit par la soutenance des 41 nouveaux docteurs contre 4 en 2015 pour ce qui est des premières soutenances. Il a demandé à Mme Amani Hortense Lobouet, sous-préfet de Bouaké représentant le préfet de traduire au Chef de l’Etat la volonté de l’institution à l’accompagner sur le chemin de l’émergence : «Mme le sous-préfet, dites au président de la République que nous voulons l’accompagner sur la voie de l’émergence ». Pour sa part, le professeur Anassé Adja Anassé Augustin a vanté les mérites de ses prédécesseurs dont feu le professeur Koné Ismaïla. Il a qualifié ce dernier de «véritable architecte de ce noble chantier ». En outre, le professeur Anassé Anassé a signifié que les doctorants ont bénéficié tout au long des 5 ans de la formation, de l’encadrement conjoint en plus des professeurs ivoiriens, des professeurs de la sous-région et de la France. « C’est le fruit d’un travail collectif, ils ont accepté de faire des sacrifices sans grands moyens et d’aider la Côte d’Ivoire » a-t-il souligné. Quant au professeur Gérard Cliquet, de l’université Rennes 1 de France, il a traduit sa joie de participer à ces soutenances parce que « le grand maître de cette cérémonie, le professeur Anassé Augustin fut son premier doctorant ». Pour Amani Hortense Lobouet, sous-préfet de Bouaké « ces travaux contribueront à l’émergence socio-économique de la Côte d‘Ivoire ».
Ernest Famin