L’annonce avait soulevé des inquiétudes : cet été, WhatsApp avait expliqué qu’il allait partager certaines données de ses utilisateurs avec Facebook, l’entreprise qui l’avait racheté deux ans plus tôt. Les autorités européennes de protection des données avaient alors fait savoir qu’elles examineraient ces transferts de données de près. Mardi 27 septembre, la première sentence est tombée. L’autorité de protection des données de Hambourg, où est situé le siège allemand de Facebook, a interdit, « avec effet immédiat, de collecter et de stocker les données des utilisateurs allemands de WhatsApp ». Elle lui a aussi ordonné de « supprimer toutes les données qui ont été transmises par WhatsApp ».
Dans un communiqué, l’organisme a rappelé que lorsque... suite de l'article sur
Dans un communiqué, l’organisme a rappelé que lorsque... suite de l'article sur