A l’initiative du Directeur Général du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Dr Adama COULIBALY, un atelier Bilan 2016 et Perspectives 2017 des campagnes coton et anacarde est organisé à Bouaké. L’objectif général, selon le Directeur Général est de passer en revue le dispositif mis en place et les actions conduites par la structure de régulation, de suivi et de développement des filières coton et anacarde au cours de l’exercice 2016, de ressortir les éventuelles insuffisances et difficultés rencontrées afin de proposer des mesures correctives pour une meilleure optimisation des résultats futurs.
Cette importante rencontre qui se tient sur trois jours, soit du 28 au 30 septembre, réunit l’ensemble des directions, des services techniques et les délégations régionales du Conseil du Coton et de l’Anacarde. Ce séminaire sera meublé par des débats autour des présentations faites par ces différents services, qui aboutiront à la trame du Rapport d’activités 2016 et du Programme d’activités 2017 du Conseil du Coton et de l’Anacarde.
Il est à noter que la campagne 2016 a été marquée par les effets des conditions climatiques particulièrement défavorables à des moments clés du cycle végétatif de l’anacardier et du cotonnier en 2015.
Ainsi, les productions de coton et de l’anacarde connaissent une baisse notable par rapport aux prévisions. Environ 670 000 tonnes de noix de cajou sont attendus contre 725 000 tonnes initialement prévues. Quant au coton, 310 000 tonnes ont été enregistrées contre 450 000 tonnes envisagées au moment du calcul du prix du coton graine aux producteurs.
Toutefois, une satisfaction générale se dégage au niveau des prix perçus par les producteurs, qui ont atteint 600 F CFA le Kg de noix brutes de cajou pour un niveau minimum fixé en début de campagne à 350 F CFA. Au niveau du coton, le prix de 250 F CFA le kg de coton graine de 1er choix servi aux producteurs et confirmé à la révision des prix en fin de campagne est au-déla de la moyenne dans la sous-région.
Rappelons que l’objectif de la réforme de la filière coton-anacarde adoptée par le Gouvernement et dont la mise en oeuvre démarrée en 2014 constitue la boussole du Conseil du Coton et de l’Anacarde, est d’optimiser la production, d’améliorer la qualité de ces deux spéculations, de garantir un prix rémunérateur aux producteurs au moins égale à 60% du prix CAF, d’améliorer la gouvernance des deux filières et d’augmenter la valeur ajoutée par la transformation.
Dans son allocution d’ouverture et de cadrage, Dr Adama COULIBALY a indiqué que l’organisation du Salon International des Equipements et des Technologies de Transformation de l’Anacarde du 17 au 19 novembre 2016 au Palais de la Culture d’Abidjan-Treichville constitue le défit majeur de cette fin d’année. Pour cette 2ème édition, 25 Equipementiers de l’Inde, du Vietnam, de Chine, d’Italie, de France, du Sri Lanka et de la Côte d’Ivoire présenteront en grandeur nature leurs innovations sur 3 500 m2 d’espace d’exposition.
Il en a donc appelé à la mobilisation et à la contribution de tous pour la réussite de cet évènement qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la réforme sur la filière anacarde.
Cette importante rencontre qui se tient sur trois jours, soit du 28 au 30 septembre, réunit l’ensemble des directions, des services techniques et les délégations régionales du Conseil du Coton et de l’Anacarde. Ce séminaire sera meublé par des débats autour des présentations faites par ces différents services, qui aboutiront à la trame du Rapport d’activités 2016 et du Programme d’activités 2017 du Conseil du Coton et de l’Anacarde.
Il est à noter que la campagne 2016 a été marquée par les effets des conditions climatiques particulièrement défavorables à des moments clés du cycle végétatif de l’anacardier et du cotonnier en 2015.
Ainsi, les productions de coton et de l’anacarde connaissent une baisse notable par rapport aux prévisions. Environ 670 000 tonnes de noix de cajou sont attendus contre 725 000 tonnes initialement prévues. Quant au coton, 310 000 tonnes ont été enregistrées contre 450 000 tonnes envisagées au moment du calcul du prix du coton graine aux producteurs.
Toutefois, une satisfaction générale se dégage au niveau des prix perçus par les producteurs, qui ont atteint 600 F CFA le Kg de noix brutes de cajou pour un niveau minimum fixé en début de campagne à 350 F CFA. Au niveau du coton, le prix de 250 F CFA le kg de coton graine de 1er choix servi aux producteurs et confirmé à la révision des prix en fin de campagne est au-déla de la moyenne dans la sous-région.
Rappelons que l’objectif de la réforme de la filière coton-anacarde adoptée par le Gouvernement et dont la mise en oeuvre démarrée en 2014 constitue la boussole du Conseil du Coton et de l’Anacarde, est d’optimiser la production, d’améliorer la qualité de ces deux spéculations, de garantir un prix rémunérateur aux producteurs au moins égale à 60% du prix CAF, d’améliorer la gouvernance des deux filières et d’augmenter la valeur ajoutée par la transformation.
Dans son allocution d’ouverture et de cadrage, Dr Adama COULIBALY a indiqué que l’organisation du Salon International des Equipements et des Technologies de Transformation de l’Anacarde du 17 au 19 novembre 2016 au Palais de la Culture d’Abidjan-Treichville constitue le défit majeur de cette fin d’année. Pour cette 2ème édition, 25 Equipementiers de l’Inde, du Vietnam, de Chine, d’Italie, de France, du Sri Lanka et de la Côte d’Ivoire présenteront en grandeur nature leurs innovations sur 3 500 m2 d’espace d’exposition.
Il en a donc appelé à la mobilisation et à la contribution de tous pour la réussite de cet évènement qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la réforme sur la filière anacarde.