Le président du Front populaire ivoirien (FPI, Opposition), Pascal Affi N’guessan, a affirmé lundi qu’il maintenait son appel au rassemblement mercredi devant l’Assemblée nationale et indiqué avoir réacheminé au préfet de police, sa demande d’autorisation qu’il avait initialement adressée au ministre de l’Intérieur.
“Nous avions adressé notre courrier au ministre de l’Intérieur et on nous a nous a dit qu’il fallait plutôt l’adresser au préfet d’Abidjan qui est le bon destinataire. C’est ce que nous venons de faire. On attend qu’on nous appelle pour nous donner la suite’’, a déclaré M. Affi N’guessan, joint au téléphone par Alerte Info.
En attendant la réponse du préfet de police, le président du FPI dit maintenir son appel au rassemblement.
Plus tôt dans la journée, le préfet d’Abidjan Sidiki Diakité, avait annoncé l’interdiction du rassemblement que l’opposition projetait d’organiser mercredi devant l’Assemblée nationale où Alassane Ouattara doit présenter l’avant-projet de la nouvelle Constitution aux députés, pour exprimer son "désaccord" avec ce texte.
Dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, le préfet d’Abidjan a expliqué n’avoir “reçu aucun courrier relatif à ce sit-in’’, ajoutant que “les manifestations sur la voie publique sont soumises à autorisation préalable’’.
Serge Alain KOFFI
“Nous avions adressé notre courrier au ministre de l’Intérieur et on nous a nous a dit qu’il fallait plutôt l’adresser au préfet d’Abidjan qui est le bon destinataire. C’est ce que nous venons de faire. On attend qu’on nous appelle pour nous donner la suite’’, a déclaré M. Affi N’guessan, joint au téléphone par Alerte Info.
En attendant la réponse du préfet de police, le président du FPI dit maintenir son appel au rassemblement.
Plus tôt dans la journée, le préfet d’Abidjan Sidiki Diakité, avait annoncé l’interdiction du rassemblement que l’opposition projetait d’organiser mercredi devant l’Assemblée nationale où Alassane Ouattara doit présenter l’avant-projet de la nouvelle Constitution aux députés, pour exprimer son "désaccord" avec ce texte.
Dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, le préfet d’Abidjan a expliqué n’avoir “reçu aucun courrier relatif à ce sit-in’’, ajoutant que “les manifestations sur la voie publique sont soumises à autorisation préalable’’.
Serge Alain KOFFI