Abidjan - Le président de la République, Alassane Ouattara, va présenter officiellement ce mercredi l’avant-projet de la nouvelle constitution aux députés à l’occasion de l’ouverture de la seconde session de l’Assemblée nationale dite "session budgétaire".
Cet avant-projet de constitution dont les dispositions ne sont pas encore rendues publiques renferme, selon le porte-parole du gouvernement qui l’a déjà adopté, des réformes majeures, entre autres, la création d’un poste de vice-président qui sera élu en même temps que le président de la République, d’un sénat dont un tiers sera désigné par le président de la République.
Cette réforme constitutionnelle rencontre des critiques notamment de l’opposition ivoirienne dont une frange a menacé d’organiser un sit-in de leurs militants et partisans devant le parlement au moment où le chef de l’Etat vient exposer cet avant-projet de constitution, lançant la 3ème République ivoirienne.
Toutefois, au terme d’une rencontre avec le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, qui à travers la préfecture de police avait interdit cette manifestation, les responsables de l’Alliance des forces démocratiques (AFD) ont décidé d’annuler ce projet.
"L’opposition décide de se retirer et de faire connaitre par des voies appropriées l’attitude à tenir", a déclaré Affi N’Guessan au sortir de cette rencontre.
akn/kp
Cet avant-projet de constitution dont les dispositions ne sont pas encore rendues publiques renferme, selon le porte-parole du gouvernement qui l’a déjà adopté, des réformes majeures, entre autres, la création d’un poste de vice-président qui sera élu en même temps que le président de la République, d’un sénat dont un tiers sera désigné par le président de la République.
Cette réforme constitutionnelle rencontre des critiques notamment de l’opposition ivoirienne dont une frange a menacé d’organiser un sit-in de leurs militants et partisans devant le parlement au moment où le chef de l’Etat vient exposer cet avant-projet de constitution, lançant la 3ème République ivoirienne.
Toutefois, au terme d’une rencontre avec le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, qui à travers la préfecture de police avait interdit cette manifestation, les responsables de l’Alliance des forces démocratiques (AFD) ont décidé d’annuler ce projet.
"L’opposition décide de se retirer et de faire connaitre par des voies appropriées l’attitude à tenir", a déclaré Affi N’Guessan au sortir de cette rencontre.
akn/kp