Le député de la commune de Port-Bouët (Sud d'Abidjan), Kouadio Konan Bertin dit "KKB", a déclaré mercredi que "rien" n’"oblige à aller à une 3e République, après que le président Alassane Ouattara a présenté l’avant-projet de la nouvelle Constitution à l’Assemblée nationale, à ALERTE INFO.
"Rien ne nous oblige à aller à une 3e République", a réagi KKB après la présentation du chef de l’Etat, relevant que M. Ouattara "reconnait aux députés leur droit d’amendement".
Quant à la députée de Cocody (Est d’Abidjan) Yasmina Ouégnin, également connue pour ses critiques envers son propre parti, le PDCI, elle a souligné que "beaucoup de députés ont des amendements", mais n'a pas exclu d'"accompagner" Alassane Ouattara "si c’est le bon chemin".
En août, le député du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), avait vivement critiqué le parti au pouvoir, le Rassemblement des républicains (RDR) avec lequel sa formation politique est alliée au sein du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP).
Il avait reproché au RDR de gouverner la Côte d’Ivoire, "à l’aune du populisme, à la Adolf Hitler" et dénoncé un "forcing" pour doter le pays d’une nouvelle Constitution "taillée sur mesure pour pérenniser" le pouvoir d’Alassane Ouattara.
MYA
"Rien ne nous oblige à aller à une 3e République", a réagi KKB après la présentation du chef de l’Etat, relevant que M. Ouattara "reconnait aux députés leur droit d’amendement".
Quant à la députée de Cocody (Est d’Abidjan) Yasmina Ouégnin, également connue pour ses critiques envers son propre parti, le PDCI, elle a souligné que "beaucoup de députés ont des amendements", mais n'a pas exclu d'"accompagner" Alassane Ouattara "si c’est le bon chemin".
En août, le député du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), avait vivement critiqué le parti au pouvoir, le Rassemblement des républicains (RDR) avec lequel sa formation politique est alliée au sein du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP).
Il avait reproché au RDR de gouverner la Côte d’Ivoire, "à l’aune du populisme, à la Adolf Hitler" et dénoncé un "forcing" pour doter le pays d’une nouvelle Constitution "taillée sur mesure pour pérenniser" le pouvoir d’Alassane Ouattara.
MYA