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Sous le leadership de la Commission Nationale des Droit de l’Homme, un Réseau des Institutions Nationales des Droits de l’Homme de l’espace UEMOA (RINDH-UEMOA) a été créé. Une Assemblée Générale Constitutive de ce Réseau a lieu aujourd’hui à Abidjan. La cérémonie d’ouverture a eu lieu le ceudi 6 octobre à 9h à la Salle de conférence de l’Hôtel Palm Club sis à Cocody, Lycée Technique. La Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies, Aichatou Mindaoudou, le Ministre chargé de l’intégration Africaine Aly Coulibaly et la ministre des Droits de l’Homme, Madame Paulette Ezouehu Badjo ont pris part à cette rencontre. Les travaux se sont au Siège de la CNDHCI sis à Cocody avec les Présidents d’institution du Burkina, de la Côte d’Ivoire , de la Guinée Bissau, du Mali, du Niger, du Sénégal et du Togo.
Au moment où nous mettions sous presse, selon des indiscrétions, Madame Sangaré Namizata, la Présidente de la Commission nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire est pressentie pour occuper la présidence de ce Réseau. Depuis son arrivée à la tête de la Commission ivoirienne, elle a multiplié les initiatives sur le plan national et international afin de la redynamiser et de la rapprocher davantage des populations.
Voici l’intégralité de son allocution à l’occasion de cet évènement de haut niveau.
Madame la Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies ;
Monsieur le Ministre de l’intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur;
Madame le Ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques,
Excellences Messieurs les ambassadeurs,
Messieurs les Présidents des Institutions Nationales des Droits de l’Homme ;
Messieurs les membres du Bureau Exécutif de la CNDHCI ;
Mesdames et Messieurs les partenaires techniques et financiers ;
Mesdames et Messieurs, les directeur s de Cabinet, Directeurs centraux, conseillers techniques ;
Mesdames et Messieurs les représentants des organisations de défense des Droits de l’Homme ;
Mesdames et Messieurs les hommes de média ;
Honorables invités
Tout protocole respecté.
C’est pour moi, une grande joie et aussi un honneur, de prendre la parole à l’occasion de cette Assemblée Générale Constitutive du Réseau des Institutions Nationales des Droits de l’Homme de l’Union Economique et Monétaire de l’Afrique de l’Ouest (UEMOA).
Je tiens, en cette solennelle circonstance, à saluer les personnalités qui, par leur présence, rehaussent l’éclat de cette cérémonie.
Je voudrais avant tout, remercier particulièrement le Président de la République de Côte d’Ivoire, Président en exercice de l’UEMOA, pour avoir permis la tenue de cette rencontre en terre ivoirienne et pour l’attention toute particulière qu’il a toujours porté à la Commission Nationale des Droits de l’Homme. SEM Alassane Ouattara met un point d’honneur au renforcement de l’Etat de droit et au respect des droits des populations dans notre beau pays, convaincu que l’Etat doit désormais passer de la proclamation des droits à la garantie de ces droits.
Je voudrais remercier Madame la Représentante spéciale du Secrétaire Générale des Nations Unies qui nous appuie presqu’au quotidien dans nos missions. Merci Madame la Représentante Spéciale pour vos conseils et votre constante sollicitude.
Je salue avec déférence Monsieur le Président de la Cour Suprême dont j’ai mesuré à la tâche l’engagement et le pragmatisme dont il fait monstre dans le traitement des plaintes des populations qui relèvent de son institution. Je sais que vous êtes un homme d’action et de devoir !
A votre suite, Monsieur le Président de la Cour Suprême, je voudrais remercier un grand serviteur de l’Etat, Monsieur le Médiateur de la République dont le leadership et l’expérience en qualité de Président du Réseau des Médiateurs de l’espace UEMOA ne nous ont jamais fait défaut. Homme de conviction acquis à la cause des Droits de l’homme, il est sans conteste dans son élément, en phase avec les enjeux et les défis des INDH.
J’associe à ces remerciements deux autres membres du Gouvernement :
-Monsieur le Ministre de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, Aly Coulibaly, qui assure avec beaucoup de panache et de succès le repositionnement de la Côte d’Ivoire sur la scène sous-régionale et régionale ;
- et Madame la Ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques, Paulette Ezouehu Badjo. J’ai succédé à Madame la Ministre à la tête de la CNDHCI. Je voudrais ici lui rendre hommage pour le travail abattu à la présidence de cette institution. De juin 2013 à Janvier 2016, elle a su insuffler son dynamisme à la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire.
Ces deux personnalités n’ont pas hésité un seul instant à prendre part à cette rencontre. MERCI A VOUS !
Aux Représentants des Présidents d’institution, des Ministères, Directeurs de cabinet, Directeurs centraux, Conseillers Techniques, représentants d’organisation de défense des Droits de l’Homme, je voudrais vous dire MERCI !
Je voudrais clore cette série de remerciements en me tournant vers nos hôtes : les Présidents d’Institution Nationale des Droits de l’Homme de l’espace UEMOA.
Messieurs les Présidents et chers Frères,
Je voudrais vous remercier d’avoir fait le déplacement d’Abidjan, malgré vos emplois du temps très chargés.
En choisissant Abidjan pour abriter ces assises, vous nous témoignez, encore une fois, vos amitiés, la fraternité et la solidarité qui caractérisent cet espace.
Messieurs les Présidents, Akwaba chez vous ! Je vous souhaite un agréable séjour en Côte d’Ivoire.
Mesdames et Messieurs,
A l’occasion de la Table-Ronde organisée par le Haut-commissariat aux Réfugiés à Banjul en Gambie, du 04 au 5 décembre 2013, regroupant les Institutions Nationales des Droits de l’Homme, la société civile, sur la problématique de l’apatridie en Afrique de l’Ouest, une réunion des Institutions Nationales des Droits de l’Homme de l’Union Economique et Monétaire de l’Afrique de l’Ouest a jeté les bases d’un futur réseau.
A la faveur du mandat du Président de la République de Côte d’Ivoire, en qualité de Président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernements de l’espace UEMOA, la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) a décidé d’assurer le leadership de l’organisation de l’Assemblée Générale Constitutive du Réseau des Institutions Nationales des Droits de l’Homme de cet espace.
Ce réseau vise à créer un cadre de réflexion et d’échanges sur toutes les questions ayant un lien avec la promotion et la protection des droits de l’Homme dans l’espace UEMOA.
Notre Réseau aura pour mission d’interpeller, de conseiller les pouvoirs publics, les organisations de défense des Droits de l’Homme, sur la nécessité de fédérer les énergies et de jeter les bases d’une action collective et efficace de promotion et de protection des Droits de l’Homme dans notre espace.
Il s’appuiera sur la communauté de langue avec un usage dominant de la langue française et fera face aux problématiques nouvelles dans notre espace dans une approche des droits de l’homme.
Ce Réseau sera, à n’en point douter, un outil privilégié pour réaffirmer l’importance des Droits de l’Homme dans le respect de nos différences et de nos diversités. La présente Assemblée Générale Constitutive est donc un moyen de se rassembler autour de problèmes, de projets et d’objectifs communs.
Nous partageons les mêmes difficultés dans la mise en œuvre de nos mandats de promotion et de protection des Droits de l’Homme.
Cette Assemblée Générale permettra de se doter de moyens pour cheminer ensemble vers nos objectifs, et de s’offrir une direction pour mettre tous ces projets en musique.
Ce Réseau sera l’occasion d’évoquer régulièrement nos problèmes communs et de voir comment y apporter des solutions idoines.
Excellences, Mesdames et Messieurs,
L’apparition sur le continent noir, notamment en Afrique de l’Ouest, au début des années 90, des Institutions Nationales des Droits de l’Homme (INDH), a été saluée unanimement par les chefs d’Etat africains comme des instruments capables de faire avancer les Droits de l’Homme et de renforcer l’Etat de Droit.
Malgré les critiques sur leur faiblesse structurelle, les INDH de l’espace UEMOA ont encouragé leurs pays respectifs à ratifier les traités relatifs aux droits de l’homme. Ils ont également joué et continuent de jouer un rôle important dans le renforcement des activités de protection et de promotion des droits de l’homme de leurs pays respectifs.
Les nouveaux défis économiques et sécuritaires liés à un contexte international de lutte contre le terrorisme, de bouleversements sociaux et de catastrophes naturelles, exigent une approche basée sur les droits de l’homme.
Les attentes de nos populations en matière de réconciliation, de justice et de paix, mais aussi d’éducation aux droits de l’Homme sont grandes. Les ressortissants de nos Etats veulent atteindre l’émergence. Pour ce faire, elles veulent compter d’abord sur nos Etats qui doivent garantir et faire respecter leurs droits.
Je suis persuadé que nos travaux, en même temps qu’ils jetteront les bases de notre union, ne manqueront pas de se pencher sur cette préoccupation légitime.
Madame la Représentante spéciale ;
Madame et Messieurs les membres du Gouvernement,
Chers partenaires,
Honorables invités ;
Mesdames et Messieurs,
Aux termes de mon propos, je voudrais vous réitérer mes sincères remerciements pour votre constante sollicitude à l’endroit de la Commission Nationale des Droits de l’Homme. Vous avez toujours été à l’écoute de la CNDHCI.
Je suis convaincue que vous porterez une attention particulière au Réseau des Institutions Nationales des Droits de l’Homme de l’espace UEMOA et au renforcement de ses capacités opérationnelles pour plus de proximité avec les populations.
Je voudrais enfin remercier le Bureau Exécutif de la Commission, mes collègues commissaires et l’ensemble du Comité d’Organisation, qui ont mis les petits plats dans les grands, pour l’organisation de cette Assemblée Générale Constitutive.
Honorables invités, Mesdames et Messieurs,
Je vous remercie de votre aimable attention.
Au moment où nous mettions sous presse, selon des indiscrétions, Madame Sangaré Namizata, la Présidente de la Commission nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire est pressentie pour occuper la présidence de ce Réseau. Depuis son arrivée à la tête de la Commission ivoirienne, elle a multiplié les initiatives sur le plan national et international afin de la redynamiser et de la rapprocher davantage des populations.
Voici l’intégralité de son allocution à l’occasion de cet évènement de haut niveau.
Madame la Représentante Spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies ;
Monsieur le Ministre de l’intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur;
Madame le Ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques,
Excellences Messieurs les ambassadeurs,
Messieurs les Présidents des Institutions Nationales des Droits de l’Homme ;
Messieurs les membres du Bureau Exécutif de la CNDHCI ;
Mesdames et Messieurs les partenaires techniques et financiers ;
Mesdames et Messieurs, les directeur s de Cabinet, Directeurs centraux, conseillers techniques ;
Mesdames et Messieurs les représentants des organisations de défense des Droits de l’Homme ;
Mesdames et Messieurs les hommes de média ;
Honorables invités
Tout protocole respecté.
C’est pour moi, une grande joie et aussi un honneur, de prendre la parole à l’occasion de cette Assemblée Générale Constitutive du Réseau des Institutions Nationales des Droits de l’Homme de l’Union Economique et Monétaire de l’Afrique de l’Ouest (UEMOA).
Je tiens, en cette solennelle circonstance, à saluer les personnalités qui, par leur présence, rehaussent l’éclat de cette cérémonie.
Je voudrais avant tout, remercier particulièrement le Président de la République de Côte d’Ivoire, Président en exercice de l’UEMOA, pour avoir permis la tenue de cette rencontre en terre ivoirienne et pour l’attention toute particulière qu’il a toujours porté à la Commission Nationale des Droits de l’Homme. SEM Alassane Ouattara met un point d’honneur au renforcement de l’Etat de droit et au respect des droits des populations dans notre beau pays, convaincu que l’Etat doit désormais passer de la proclamation des droits à la garantie de ces droits.
Je voudrais remercier Madame la Représentante spéciale du Secrétaire Générale des Nations Unies qui nous appuie presqu’au quotidien dans nos missions. Merci Madame la Représentante Spéciale pour vos conseils et votre constante sollicitude.
Je salue avec déférence Monsieur le Président de la Cour Suprême dont j’ai mesuré à la tâche l’engagement et le pragmatisme dont il fait monstre dans le traitement des plaintes des populations qui relèvent de son institution. Je sais que vous êtes un homme d’action et de devoir !
A votre suite, Monsieur le Président de la Cour Suprême, je voudrais remercier un grand serviteur de l’Etat, Monsieur le Médiateur de la République dont le leadership et l’expérience en qualité de Président du Réseau des Médiateurs de l’espace UEMOA ne nous ont jamais fait défaut. Homme de conviction acquis à la cause des Droits de l’homme, il est sans conteste dans son élément, en phase avec les enjeux et les défis des INDH.
J’associe à ces remerciements deux autres membres du Gouvernement :
-Monsieur le Ministre de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, Aly Coulibaly, qui assure avec beaucoup de panache et de succès le repositionnement de la Côte d’Ivoire sur la scène sous-régionale et régionale ;
- et Madame la Ministre des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques, Paulette Ezouehu Badjo. J’ai succédé à Madame la Ministre à la tête de la CNDHCI. Je voudrais ici lui rendre hommage pour le travail abattu à la présidence de cette institution. De juin 2013 à Janvier 2016, elle a su insuffler son dynamisme à la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire.
Ces deux personnalités n’ont pas hésité un seul instant à prendre part à cette rencontre. MERCI A VOUS !
Aux Représentants des Présidents d’institution, des Ministères, Directeurs de cabinet, Directeurs centraux, Conseillers Techniques, représentants d’organisation de défense des Droits de l’Homme, je voudrais vous dire MERCI !
Je voudrais clore cette série de remerciements en me tournant vers nos hôtes : les Présidents d’Institution Nationale des Droits de l’Homme de l’espace UEMOA.
Messieurs les Présidents et chers Frères,
Je voudrais vous remercier d’avoir fait le déplacement d’Abidjan, malgré vos emplois du temps très chargés.
En choisissant Abidjan pour abriter ces assises, vous nous témoignez, encore une fois, vos amitiés, la fraternité et la solidarité qui caractérisent cet espace.
Messieurs les Présidents, Akwaba chez vous ! Je vous souhaite un agréable séjour en Côte d’Ivoire.
Mesdames et Messieurs,
A l’occasion de la Table-Ronde organisée par le Haut-commissariat aux Réfugiés à Banjul en Gambie, du 04 au 5 décembre 2013, regroupant les Institutions Nationales des Droits de l’Homme, la société civile, sur la problématique de l’apatridie en Afrique de l’Ouest, une réunion des Institutions Nationales des Droits de l’Homme de l’Union Economique et Monétaire de l’Afrique de l’Ouest a jeté les bases d’un futur réseau.
A la faveur du mandat du Président de la République de Côte d’Ivoire, en qualité de Président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernements de l’espace UEMOA, la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) a décidé d’assurer le leadership de l’organisation de l’Assemblée Générale Constitutive du Réseau des Institutions Nationales des Droits de l’Homme de cet espace.
Ce réseau vise à créer un cadre de réflexion et d’échanges sur toutes les questions ayant un lien avec la promotion et la protection des droits de l’Homme dans l’espace UEMOA.
Notre Réseau aura pour mission d’interpeller, de conseiller les pouvoirs publics, les organisations de défense des Droits de l’Homme, sur la nécessité de fédérer les énergies et de jeter les bases d’une action collective et efficace de promotion et de protection des Droits de l’Homme dans notre espace.
Il s’appuiera sur la communauté de langue avec un usage dominant de la langue française et fera face aux problématiques nouvelles dans notre espace dans une approche des droits de l’homme.
Ce Réseau sera, à n’en point douter, un outil privilégié pour réaffirmer l’importance des Droits de l’Homme dans le respect de nos différences et de nos diversités. La présente Assemblée Générale Constitutive est donc un moyen de se rassembler autour de problèmes, de projets et d’objectifs communs.
Nous partageons les mêmes difficultés dans la mise en œuvre de nos mandats de promotion et de protection des Droits de l’Homme.
Cette Assemblée Générale permettra de se doter de moyens pour cheminer ensemble vers nos objectifs, et de s’offrir une direction pour mettre tous ces projets en musique.
Ce Réseau sera l’occasion d’évoquer régulièrement nos problèmes communs et de voir comment y apporter des solutions idoines.
Excellences, Mesdames et Messieurs,
L’apparition sur le continent noir, notamment en Afrique de l’Ouest, au début des années 90, des Institutions Nationales des Droits de l’Homme (INDH), a été saluée unanimement par les chefs d’Etat africains comme des instruments capables de faire avancer les Droits de l’Homme et de renforcer l’Etat de Droit.
Malgré les critiques sur leur faiblesse structurelle, les INDH de l’espace UEMOA ont encouragé leurs pays respectifs à ratifier les traités relatifs aux droits de l’homme. Ils ont également joué et continuent de jouer un rôle important dans le renforcement des activités de protection et de promotion des droits de l’homme de leurs pays respectifs.
Les nouveaux défis économiques et sécuritaires liés à un contexte international de lutte contre le terrorisme, de bouleversements sociaux et de catastrophes naturelles, exigent une approche basée sur les droits de l’homme.
Les attentes de nos populations en matière de réconciliation, de justice et de paix, mais aussi d’éducation aux droits de l’Homme sont grandes. Les ressortissants de nos Etats veulent atteindre l’émergence. Pour ce faire, elles veulent compter d’abord sur nos Etats qui doivent garantir et faire respecter leurs droits.
Je suis persuadé que nos travaux, en même temps qu’ils jetteront les bases de notre union, ne manqueront pas de se pencher sur cette préoccupation légitime.
Madame la Représentante spéciale ;
Madame et Messieurs les membres du Gouvernement,
Chers partenaires,
Honorables invités ;
Mesdames et Messieurs,
Aux termes de mon propos, je voudrais vous réitérer mes sincères remerciements pour votre constante sollicitude à l’endroit de la Commission Nationale des Droits de l’Homme. Vous avez toujours été à l’écoute de la CNDHCI.
Je suis convaincue que vous porterez une attention particulière au Réseau des Institutions Nationales des Droits de l’Homme de l’espace UEMOA et au renforcement de ses capacités opérationnelles pour plus de proximité avec les populations.
Je voudrais enfin remercier le Bureau Exécutif de la Commission, mes collègues commissaires et l’ensemble du Comité d’Organisation, qui ont mis les petits plats dans les grands, pour l’organisation de cette Assemblée Générale Constitutive.
Honorables invités, Mesdames et Messieurs,
Je vous remercie de votre aimable attention.
