Abidjan - L’ambassadrice de l’Ethiopie en Côte d’Ivoire, Dr Kassa Yeshimebrat Mersha, accuse les groupes rebelles et les dissidents vivant à l’étranger d’être responsable des violences survenu dans son pays, dimanche, à l’occasion de la célébration du "Jour de grâce Oromo" appelée « Irreechaa », qui ont fait 55 morts et 102 blessés.
Selon Mme Yeshimebrat Mersha, qui s’exprimait vendredi à Abidjan lors d’une conférence de presse, les pertes en vie humaine occasionnées lors de ces incidents ne sont pas dues à la bousculade ni aux mesures prises par les forces de sécurité, accusées par l’opposition sur certains médias sociaux et organes de presse internationaux d’avoir ouvert le feu sur la foule.
Elle a également indiqué que les preuves obtenues par le gouvernement ont démontrées que les groupes rebelles et les dissidents vivants à l’étranger "avaient planifiés d’avance de perturber les prières des autorités locales (Aba Geba) et des prêtres, surtout que lors de la cérémonie, certains jeunes extrémistes ainsi que leur partenaires infiltrés dans la foule se sont accaparés du microphone sur la scène principale et se sont mis à scander des slogans anti-gouvernementaux".
Suite à ces violences, a-t-elle souligné, le gouvernement a ordonné la mise en berne des drapeaux dans toutes les ambassades, demandé qu’un deuil national de trois jours soit observé sur tout le territoire national, "promis que "toutes les personnes responsables de ces actions maléfiques et terroristes seront traduites en justice et présenté un plan d’aide à la population de la zone touchée".
L’ethnie Oromo pratique le rituel de l’Irreechaa comme une célébration d’action de grâce deux fois par an, à l’automne et au printemps, afin de remercier Dieu pour la paix, la fertilité, et l’abondance, note-t-on.
sdaf/tm
Selon Mme Yeshimebrat Mersha, qui s’exprimait vendredi à Abidjan lors d’une conférence de presse, les pertes en vie humaine occasionnées lors de ces incidents ne sont pas dues à la bousculade ni aux mesures prises par les forces de sécurité, accusées par l’opposition sur certains médias sociaux et organes de presse internationaux d’avoir ouvert le feu sur la foule.
Elle a également indiqué que les preuves obtenues par le gouvernement ont démontrées que les groupes rebelles et les dissidents vivants à l’étranger "avaient planifiés d’avance de perturber les prières des autorités locales (Aba Geba) et des prêtres, surtout que lors de la cérémonie, certains jeunes extrémistes ainsi que leur partenaires infiltrés dans la foule se sont accaparés du microphone sur la scène principale et se sont mis à scander des slogans anti-gouvernementaux".
Suite à ces violences, a-t-elle souligné, le gouvernement a ordonné la mise en berne des drapeaux dans toutes les ambassades, demandé qu’un deuil national de trois jours soit observé sur tout le territoire national, "promis que "toutes les personnes responsables de ces actions maléfiques et terroristes seront traduites en justice et présenté un plan d’aide à la population de la zone touchée".
L’ethnie Oromo pratique le rituel de l’Irreechaa comme une célébration d’action de grâce deux fois par an, à l’automne et au printemps, afin de remercier Dieu pour la paix, la fertilité, et l’abondance, note-t-on.
sdaf/tm