Le député Bertin Kouadio Konan est revenu, en conférence de presse, sur son geste qui a consisté à claquer la porte de l’Assemblée nationale, et à écourter sa présence aux travaux en Commission, sur l’avant-projet de loi portant Constitution de la République de Côte d’Ivoire.
L’après-midi du dimanche 9 octobre, dans son quartier général de Cocody-les 2 Plateaux, le député de Port-bouet a fustigé un « acte de forfaiture », mentionnant que l’Assemblée nationale n’avait ni qualité, ni compétence pour prendre part à l’élaboration d’une nouvelle Constitution. Vendredi dernier, l’élu avait quitté l’hémicycle après avoir posé, en vain, un préalable. « La procédure actuellement en cours est anticonstitutionnelle, car n’étant pas prévue par la Constitution et n’émanant pas du peuple souverain qui aurait dû être au début et à la fin du processus », s’est expliqué, dimanche, Bertin Kouadio Konan dit KKB.
L’après-midi du dimanche 9 octobre, dans son quartier général de Cocody-les 2 Plateaux, le député de Port-bouet a fustigé un « acte de forfaiture », mentionnant que l’Assemblée nationale n’avait ni qualité, ni compétence pour prendre part à l’élaboration d’une nouvelle Constitution. Vendredi dernier, l’élu avait quitté l’hémicycle après avoir posé, en vain, un préalable. « La procédure actuellement en cours est anticonstitutionnelle, car n’étant pas prévue par la Constitution et n’émanant pas du peuple souverain qui aurait dû être au début et à la fin du processus », s’est expliqué, dimanche, Bertin Kouadio Konan dit KKB.