Le Premier ministre togolais Selom Klassou a présidé lundi à Lomé, la cérémonie d’ouverture des activités parallèles au sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA sur la sécurité et la sûreté maritimes et le développement dénommées "Side- events" que le Togo abrite du 10 au 15 octobre.
Selon le ministre togolais des Affaires étrangères, Robert Dussey, les "side-events" sont une série d’évènements parallèles qui se veut un espace de débat où plusieurs thèmes seront abordés, notamment la lutte contre la piraterie maritime et autre trafic, l’économie bleue, les enjeux de la sécurité et de la sûreté maritimes, les problématiques de gouvernance maritime et échanges en matière judiciaire et de police.
Les side-events comprennent également le "village des partenaires" construit sur une superficie de 2.800 m2 et disposant de 49 stands. Le village dispose également d’une salle de conférence de 400 m2, un restaurant de 400 m2 et un salon VIP de 200 m2. Sur les 49 exposants 21 sont venus de l’étranger.
Pendant quatre jours (du 10 au 14 octobre), dix panels sur les différents thèmes retenus seront organisés tandis que 238 experts et participants de haut niveau sont attendus également des universitaires et des chercheurs.
Pour le ministre des Affaires étrangères, l’expérience togolaise de la démocratie délibérative permettra aux acteurs de débats d’expliciter et de clarifier davantage les enjeux et défis du sommet de Lomé.
"Il s’agira de débattre par le truchement des panels autour des problématiques définies et de proposer des actions idoines à engager pour la préservation de nos mers et océans", a-t-il relevé. Le ministre a précisé que ces échanges doivent être en phase aussi bien avec la charte de Lomé proposée pour adoption aux chefs d’Etat et de gouvernement pour le 15 octobre qu’avec les mesures dépliées dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie africaine des mers et océans, la stratégie AIF 2050.
"Par ailleurs les entreprises saisiront l’opportunité pour présenter leurs dernières innovation qui serviront à renforcer et à rendre efficaces les actions de nos Etats en mer", a-t-il conclu.
Selon le ministre togolais des Affaires étrangères, Robert Dussey, les "side-events" sont une série d’évènements parallèles qui se veut un espace de débat où plusieurs thèmes seront abordés, notamment la lutte contre la piraterie maritime et autre trafic, l’économie bleue, les enjeux de la sécurité et de la sûreté maritimes, les problématiques de gouvernance maritime et échanges en matière judiciaire et de police.
Les side-events comprennent également le "village des partenaires" construit sur une superficie de 2.800 m2 et disposant de 49 stands. Le village dispose également d’une salle de conférence de 400 m2, un restaurant de 400 m2 et un salon VIP de 200 m2. Sur les 49 exposants 21 sont venus de l’étranger.
Pendant quatre jours (du 10 au 14 octobre), dix panels sur les différents thèmes retenus seront organisés tandis que 238 experts et participants de haut niveau sont attendus également des universitaires et des chercheurs.
Pour le ministre des Affaires étrangères, l’expérience togolaise de la démocratie délibérative permettra aux acteurs de débats d’expliciter et de clarifier davantage les enjeux et défis du sommet de Lomé.
"Il s’agira de débattre par le truchement des panels autour des problématiques définies et de proposer des actions idoines à engager pour la préservation de nos mers et océans", a-t-il relevé. Le ministre a précisé que ces échanges doivent être en phase aussi bien avec la charte de Lomé proposée pour adoption aux chefs d’Etat et de gouvernement pour le 15 octobre qu’avec les mesures dépliées dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie africaine des mers et océans, la stratégie AIF 2050.
"Par ailleurs les entreprises saisiront l’opportunité pour présenter leurs dernières innovation qui serviront à renforcer et à rendre efficaces les actions de nos Etats en mer", a-t-il conclu.