Abidjan - Une campagne pour la pour la scolarisation de la jeune fille intitulée « L’éducation, un droit aussi pour les filles en Côte d’Ivoire », initiée par l’ONG internationale, Save the Children a été lancée, mardi à Abidjan, par le ministre de l’Education Nationale, Kandia Camara.
Le lancement de cette campagne consolide la collaboration entre le ministère de l'Education nationale et Save the Children, a indiqué Kandia Camara, affirmant que "l’école, c’est la dernière chance"pour l'épanouissement de l’enfant". Durant cette campagne, trois ans, Save the Children envisage réduire la violence contre les filles dans les écoles et dans les communautés tout en recueillant des fonds, en vue d’assurer leur maintien dans le système éducatif et éliminer toutes les discriminations basées sur le genre, surtout dans le Nord de la Côte d'Ivoire où la situation persiste, selon le directeur pays de cette ONG, Famari Barro.
L’ambassadrice de cette campagne, Mariam Dao Gabala a expliqué que toutes les filles ont droit de poursuivre leur rêve et de se mettre au service de leur Nation, indiquant que « cette campagne permet de traduire cette vision ».
Au nom du parlement des enfants, la présidente de cette assemblée, Lath Akaffou Grâce Marie s’est engagée à accompagner l’Ong Save the Children pour inspirer des vrais changements dans la manière dont le monde traite les enfants. Ces enfants du parlement ont également proposé des slogans tels que « carton rouge à la déscolarisation des filles ; éduquer une fille, c’est éduquer une nation » afin de provoquer des changements positifs en faveur des enfants exclus du système scolaire.
Présent en Côte d’Ivoire depuis 1996, Save the children travaille sur quatre programmes, à savoir l’éducation, la protection, la santé–nutrition et gouvernance des droits des enfants, au sein de cinq bureaux à Abidjan, Abengourou, Bouaké, Odienné et Man, souligne-t-on.
tg/tad/ask
Le lancement de cette campagne consolide la collaboration entre le ministère de l'Education nationale et Save the Children, a indiqué Kandia Camara, affirmant que "l’école, c’est la dernière chance"pour l'épanouissement de l’enfant". Durant cette campagne, trois ans, Save the Children envisage réduire la violence contre les filles dans les écoles et dans les communautés tout en recueillant des fonds, en vue d’assurer leur maintien dans le système éducatif et éliminer toutes les discriminations basées sur le genre, surtout dans le Nord de la Côte d'Ivoire où la situation persiste, selon le directeur pays de cette ONG, Famari Barro.
L’ambassadrice de cette campagne, Mariam Dao Gabala a expliqué que toutes les filles ont droit de poursuivre leur rêve et de se mettre au service de leur Nation, indiquant que « cette campagne permet de traduire cette vision ».
Au nom du parlement des enfants, la présidente de cette assemblée, Lath Akaffou Grâce Marie s’est engagée à accompagner l’Ong Save the Children pour inspirer des vrais changements dans la manière dont le monde traite les enfants. Ces enfants du parlement ont également proposé des slogans tels que « carton rouge à la déscolarisation des filles ; éduquer une fille, c’est éduquer une nation » afin de provoquer des changements positifs en faveur des enfants exclus du système scolaire.
Présent en Côte d’Ivoire depuis 1996, Save the children travaille sur quatre programmes, à savoir l’éducation, la protection, la santé–nutrition et gouvernance des droits des enfants, au sein de cinq bureaux à Abidjan, Abengourou, Bouaké, Odienné et Man, souligne-t-on.
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