Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, a assuré mardi que “rien dans ce texte ne m’est étranger“, après l’adoption de l’avant-projet de la nouvelle constitution dont une disposition remplace son poste par un vice-président.
Cette disposition de la nouvelle Constitution avait laissé supputer au sein de la classe politique et à la une de plusieurs quotidiens qu’un malaise s’était installé entre le chef de l’Etat Alassane Ouattara et M. Soro qui en serait visé.
Le 5 octobre, à contre-pied de cette thèse, Guillaume Soro, lors de la présentation du texte de l’avant-projet, a demandé aux députés de l’“accompagner“ dans l’exécution de ce projet.
Une promesse tenue ce mardi où 239 députés sur un total de 250 dont un absent ont voté pour que le nouveau texte devienne un projet de constitution qui sera soumis à un vote référendaire le 30 octobre.
“Rien dans ce texte ne m’est étranger“ a relevé le président de l’Assemblée nationale, qui dit avoir été “aux côtés“ du président de la République pour “réfléchir sur ce texte“.
M. Soro semble résolu à démontrer à tous ceux qui le croient en porte-à-faux avec Ouattara que le fait de ne plus être le dauphin constitutionnel ne le touche pas, mais qu’en plus, ce nouveau texte garantie “la stabilité pour la Côte d’Ivoire“.
“Que le vice-président assure la vacance du président n’est pas nouveau“ a-t-il insisté prenant pour exemple le cas des Etats-Unis d’Amérique.
MIR
Cette disposition de la nouvelle Constitution avait laissé supputer au sein de la classe politique et à la une de plusieurs quotidiens qu’un malaise s’était installé entre le chef de l’Etat Alassane Ouattara et M. Soro qui en serait visé.
Le 5 octobre, à contre-pied de cette thèse, Guillaume Soro, lors de la présentation du texte de l’avant-projet, a demandé aux députés de l’“accompagner“ dans l’exécution de ce projet.
Une promesse tenue ce mardi où 239 députés sur un total de 250 dont un absent ont voté pour que le nouveau texte devienne un projet de constitution qui sera soumis à un vote référendaire le 30 octobre.
“Rien dans ce texte ne m’est étranger“ a relevé le président de l’Assemblée nationale, qui dit avoir été “aux côtés“ du président de la République pour “réfléchir sur ce texte“.
M. Soro semble résolu à démontrer à tous ceux qui le croient en porte-à-faux avec Ouattara que le fait de ne plus être le dauphin constitutionnel ne le touche pas, mais qu’en plus, ce nouveau texte garantie “la stabilité pour la Côte d’Ivoire“.
“Que le vice-président assure la vacance du président n’est pas nouveau“ a-t-il insisté prenant pour exemple le cas des Etats-Unis d’Amérique.
MIR