Contrairement à ce que pensent certains partis politiques ou leaders politiques comme le président de Rpci Bamba Moriféré, le gouvernement n’a pas imposé l’utilisation de deux bulletins pour le référendum à la Commission électorale indépendante (Cei). C’est la Commission elle-même qui a fait cette proposition. C’est du moins ce qu’a laissé entendre le vice-président en charge des opérations électorales de ladite Commission Sourou Koné sur Onuci-Fm le jeudi 13 octobre qui en a donné les raisons.
Celui-ci a indiqué que le référendum n’est pas régi par le code électoral, mais par une loi organique. « Comme vous savez, sur le bulletin unique , vous avez un certain nombre d’éléments qui permettent aux électeurs de pouvoir identifier qui ils veulent voter même s’ils ne savent pas lire . Vous avez le logo du parti, la photo et un certain nombre d’éléments alors que pour le référendum, il n’ y a pas de logo, de sigle, rien du tout. Donc, nous avons estimé que nos électeurs qui ne savent pas lire et qui ne pouvaient pas faire la différence entre un Oui ou un Non, il fallait leur donner la possibilité de pouvoir faire leur choix de façon claire et nette. C’est ainsi que les deux bulletins ont été proposés avec naturellement des couleurs différentes. Et à partir de ces couleurs, les partis politiques ou groupements politiques qui souhaitent faire voter Oui peuvent former leurs électeurs. Ceux qui souhaitent faire voter Non , peuvent en faire autant. Donc c’est par un souci de facilitation du scrutin et de sa meilleure compréhension par les électeurs.
T.A.B
Celui-ci a indiqué que le référendum n’est pas régi par le code électoral, mais par une loi organique. « Comme vous savez, sur le bulletin unique , vous avez un certain nombre d’éléments qui permettent aux électeurs de pouvoir identifier qui ils veulent voter même s’ils ne savent pas lire . Vous avez le logo du parti, la photo et un certain nombre d’éléments alors que pour le référendum, il n’ y a pas de logo, de sigle, rien du tout. Donc, nous avons estimé que nos électeurs qui ne savent pas lire et qui ne pouvaient pas faire la différence entre un Oui ou un Non, il fallait leur donner la possibilité de pouvoir faire leur choix de façon claire et nette. C’est ainsi que les deux bulletins ont été proposés avec naturellement des couleurs différentes. Et à partir de ces couleurs, les partis politiques ou groupements politiques qui souhaitent faire voter Oui peuvent former leurs électeurs. Ceux qui souhaitent faire voter Non , peuvent en faire autant. Donc c’est par un souci de facilitation du scrutin et de sa meilleure compréhension par les électeurs.
T.A.B