Informer et sensibiliser les femmes sur les avancées en matière de genre et de valorisation des compétences féminines qui transparaissent dans le projet de nouvelle constitution, tel était l’objectif de la rencontre des femmes de Côte d’Ivoire et la ministre de la promotion de la femme, de la famille et de la protection de l’enfant, madame Euphrasie Yao.
À cet effet, les femmes de Côte d’Ivoire se sont mobilisées, ce jeudi 13 octobre, au Palais de la Culture pour dire « Oui » à la nouvelle constitution qui sera soumise au vote, le 30 octobre prochain. La salle Lougha François du palais de la culture de Treichville qui a servi de cadre pour cette cérémonie a été pris d’assaut par les femmes venues des quatre coins du pays toutes vêtues de blanc à la demande du ministre Euphrasie Kouassi Yao.
Elles sont venues s’imprégner sur le contenu du futur texte qui constituera le ciment de la Côte d’Ivoire a-t-on appris selon leur ministre. Pour elles, le contenu du projet de constitution qui a été élaboré par les experts nationaux et respectivement soumis au président de la République et adopté par les députés, est un sésame longtemps recherché par la femme ivoirienne. Parce que plusieurs de ses articles, notamment, 35, 36 et 37 rétablissent celle-ci dans tous ses droits légaux. À titre d’exemple, elle cite, entre autres, l’article 37 qui indique que « L’État œuvre à promouvoir la parité entre les hommes et les femmes sur le marché de l’emploi. L’État encourage la promotion de la femme aux responsabilités dans les institutions et administrations publiques ainsi qu’au niveau des entreprises ».
Face à de telles dispositions, Madame Euphrasie Yao a invité les femmes à sortir massivement le 30 octobre prochain pour voter massivement « Oui », car, « Nous ne voulons plus être dans les casseroles, mais à table ». Pour elle, c’est à partir de ce nouveau texte que la femme ivoirienne pourra écrire une histoire l’honorant et digne d’elle. « Si nous vous avons motivé à vous inscrire massivement sur la liste électorale (49% d’inscrites), c’est pour que vous puissiez vous exprimer pour votre bien-être, celui de vos familles et vos enfants », a-t-elle insisté. Avant d’inviter toutes les femmes, de quelques bords que ce soit, à rester solidaire pour avancer dans la lutte.
C.K
À cet effet, les femmes de Côte d’Ivoire se sont mobilisées, ce jeudi 13 octobre, au Palais de la Culture pour dire « Oui » à la nouvelle constitution qui sera soumise au vote, le 30 octobre prochain. La salle Lougha François du palais de la culture de Treichville qui a servi de cadre pour cette cérémonie a été pris d’assaut par les femmes venues des quatre coins du pays toutes vêtues de blanc à la demande du ministre Euphrasie Kouassi Yao.
Elles sont venues s’imprégner sur le contenu du futur texte qui constituera le ciment de la Côte d’Ivoire a-t-on appris selon leur ministre. Pour elles, le contenu du projet de constitution qui a été élaboré par les experts nationaux et respectivement soumis au président de la République et adopté par les députés, est un sésame longtemps recherché par la femme ivoirienne. Parce que plusieurs de ses articles, notamment, 35, 36 et 37 rétablissent celle-ci dans tous ses droits légaux. À titre d’exemple, elle cite, entre autres, l’article 37 qui indique que « L’État œuvre à promouvoir la parité entre les hommes et les femmes sur le marché de l’emploi. L’État encourage la promotion de la femme aux responsabilités dans les institutions et administrations publiques ainsi qu’au niveau des entreprises ».
Face à de telles dispositions, Madame Euphrasie Yao a invité les femmes à sortir massivement le 30 octobre prochain pour voter massivement « Oui », car, « Nous ne voulons plus être dans les casseroles, mais à table ». Pour elle, c’est à partir de ce nouveau texte que la femme ivoirienne pourra écrire une histoire l’honorant et digne d’elle. « Si nous vous avons motivé à vous inscrire massivement sur la liste électorale (49% d’inscrites), c’est pour que vous puissiez vous exprimer pour votre bien-être, celui de vos familles et vos enfants », a-t-elle insisté. Avant d’inviter toutes les femmes, de quelques bords que ce soit, à rester solidaire pour avancer dans la lutte.
C.K