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Le ministère de l’éducation nationale, l’Organisation Internationale de la francophonie (OIF), des partenaires au développement et des organisations francophones et mondiales spécialisées dans les questions d’éducation ont tenu, jeudi à Abidjan, la première réunion du comité de pilotage de l’Institut de la Francophonie pour l’éducation et la formation (IFEF) en vue de donner du contenu aux actions de l’institut.
Selon Adama Ouané, Administrateur de l’OIF, cette réunion va permettre de définir la stratégie d’intervention de l’IFEF.
Il s’agira ensuite des questions d’organisation et de gestion sur la mise en place et les modalités afin de poser des bases solides pour le succès du projet.
« A la fin des travaux, nous allons faire des recommandations au SG de la Francophonie pour la nomination d’un(e) directeur (rice) de l’IFEF » a-t-il assuré.
Par l’institut, la francophonie essaie de se doter d’un outil de réflexion, d’actions et de perspectives sur toute la thématique de l’éducation et de la formation.
Souhaitant le traditionnel Akwaba aux invités, la ministre de l’éducation nationale, Kandia Camara s’est félicitée de la tenue de la réunion à Abidjan, notant l’intérêt que la Côte d’Ivoire accorde aux questions d’éducation et de formation.
« Les objectifs stratégiques qui seront définis ici, ainsi que les modalités de fonctionnement de l’institut sont donc attendus avec impatience » a souligné la ministre par ailleurs vice-présidente en exercice de la Conférence des ministres de l’Éducation des Etats et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN).
Les chefs d’État et de gouvernement, réunis à Dakar pour leur XVe Sommet en octobre 2015, ont pris la décision de doter la Francophonie d’un nouvel outil visant à appuyer les pays dans leurs efforts pour améliorer leurs systèmes éducatifs : l’Institut de la Francophonie pour l’éducation et la formation (IFEF)
Il a pour vocation de fédérer les expertises et les bonnes pratiques disponibles au sein de l’espace francophone et de porter un plaidoyer en matière de coopération et d’appui technique aux Etats et gouvernements membres de l’OIF, en complémentarité et en synergie avec d’autres acteurs et partenaires engagés dans l’Agenda pour l’éducation 2030.
Ensuite il s’agit d’appuyer les États et gouvernements de l’espace francophone dans le renforcement de leur système éducatif et l’amélioration de la qualité des enseignements et des apprentissages.
Selon Adama Ouané, Administrateur de l’OIF, cette réunion va permettre de définir la stratégie d’intervention de l’IFEF.
Il s’agira ensuite des questions d’organisation et de gestion sur la mise en place et les modalités afin de poser des bases solides pour le succès du projet.
« A la fin des travaux, nous allons faire des recommandations au SG de la Francophonie pour la nomination d’un(e) directeur (rice) de l’IFEF » a-t-il assuré.
Par l’institut, la francophonie essaie de se doter d’un outil de réflexion, d’actions et de perspectives sur toute la thématique de l’éducation et de la formation.
Souhaitant le traditionnel Akwaba aux invités, la ministre de l’éducation nationale, Kandia Camara s’est félicitée de la tenue de la réunion à Abidjan, notant l’intérêt que la Côte d’Ivoire accorde aux questions d’éducation et de formation.
« Les objectifs stratégiques qui seront définis ici, ainsi que les modalités de fonctionnement de l’institut sont donc attendus avec impatience » a souligné la ministre par ailleurs vice-présidente en exercice de la Conférence des ministres de l’Éducation des Etats et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN).
Les chefs d’État et de gouvernement, réunis à Dakar pour leur XVe Sommet en octobre 2015, ont pris la décision de doter la Francophonie d’un nouvel outil visant à appuyer les pays dans leurs efforts pour améliorer leurs systèmes éducatifs : l’Institut de la Francophonie pour l’éducation et la formation (IFEF)
Il a pour vocation de fédérer les expertises et les bonnes pratiques disponibles au sein de l’espace francophone et de porter un plaidoyer en matière de coopération et d’appui technique aux Etats et gouvernements membres de l’OIF, en complémentarité et en synergie avec d’autres acteurs et partenaires engagés dans l’Agenda pour l’éducation 2030.
Ensuite il s’agit d’appuyer les États et gouvernements de l’espace francophone dans le renforcement de leur système éducatif et l’amélioration de la qualité des enseignements et des apprentissages.
