Korhogo – Les fondateurs d’établissements privés d’enseignement de Korhogo se sont engagés samedi à travailler à l’amélioration de leurs résultats scolaires, au sortir d’un atelier avec la Direction régionale de l’Education nationale (DREN).
Initié la DREN en vue de procéder à une « relecture de la convention de concession du service public de l’enseignement aux promoteurs privés », la rencontre visait à réfléchir aux voies et moyens d’endiguer les difficultés de écoles privés en vue d’améliorer leurs performances, notamment en terme de réussite des élèves qui les fréquentent.
La DREN de Korhogo compte près de 60 établissements scolaires privés dont 28 au niveau secondaire. Ces écoles sont confrontées à de nombreuses difficultés dont la mauvaise gestion administrative, l’insuffisance de qualification des personnels, le manque de matériel (didactique et/ou scientifique), le non respect des volumes horaires des emplois du temps ou des programmes éducatifs. Ce qui provoque de mauvais résultats pour la plupart de ces écoles.
Les échanges ont permis d’identifier ces difficultés et de leurs proposer des solutions, et ont tournés autour de deux exposés présentés par la directrice des l’encadrement des établissements privés, Toungara Mamenet, et le coordonnateur général de l’administration et de la vie scolaire, Koffi Faustin. Le premier exposé était intitulé « l’environnement scolaire et la pédagogie », et le second, « la gestion administrative et la gouvernance ».
Kaem
Initié la DREN en vue de procéder à une « relecture de la convention de concession du service public de l’enseignement aux promoteurs privés », la rencontre visait à réfléchir aux voies et moyens d’endiguer les difficultés de écoles privés en vue d’améliorer leurs performances, notamment en terme de réussite des élèves qui les fréquentent.
La DREN de Korhogo compte près de 60 établissements scolaires privés dont 28 au niveau secondaire. Ces écoles sont confrontées à de nombreuses difficultés dont la mauvaise gestion administrative, l’insuffisance de qualification des personnels, le manque de matériel (didactique et/ou scientifique), le non respect des volumes horaires des emplois du temps ou des programmes éducatifs. Ce qui provoque de mauvais résultats pour la plupart de ces écoles.
Les échanges ont permis d’identifier ces difficultés et de leurs proposer des solutions, et ont tournés autour de deux exposés présentés par la directrice des l’encadrement des établissements privés, Toungara Mamenet, et le coordonnateur général de l’administration et de la vie scolaire, Koffi Faustin. Le premier exposé était intitulé « l’environnement scolaire et la pédagogie », et le second, « la gestion administrative et la gouvernance ».
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